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lundi 26 juillet 2010

Hommage

On peut penser ce que l'on veut – même éventuellement le plus grand mal - du FN, de son « programme », de ses « cadres » et de ses « militants », mais il y a une chose qui est certaine et indiscutable: s'affirmer « lepéniste » est un vrai acte de courage social, autrement plus couillu que toutes les autres postures « anti-système »

Chacun peut en faire l'expérience: déclarez que vous êtes « lepéniste » au cours d'un dîner, même le plus super réac des bois, et observez avec attention la gueule des convives. Tout à coup, on n'est plus entre gens de bonnes familles en appelant à Pascal et De Maistre pour pleurnicher – avec humour, détachement et finesse - sur le monde tel qu'il ne va pas: un putain de chauffeur de taxi s'est invité à la fête!

Tout le reste... national-catholique, royco, gibelin, archéo-futuriste, néo-droitier, libéral-conservateur, bonapartiste, national-républicain, légitimiste évolien, tradi-nietzschéen, futuriste orthodoxe, situationniste nazi, pinocheto-reaganien, révolutionnaire conservateur, chrétien solaire, pagano-partouzard, anti-moderne déconstructiviste .. ca peut se discuter, c'est « intéressant », « troublant », « intriguant », « littéraire », « artiste »...

Mais « lepéniste » ça pue la sueur, le Pas-de-calais, la fête à neuneu, les vieux médaillés qui sentent le pipi, l'ex-coco à front bas, le comptoir de PMU, l'humilié du RER et le licencié de chez Renault, bref ce « populo » qu'on aime surtout dans les films de genre de Duvivier.

Pas vraiment l'anticonformisme glamour et délicieusement cultivé qui va permettre de choper. Vraiment pas de quoi faire mouiller la sorbonnarde qui voit dans Sophocle la dernier rempart de l'Europe ni la catho-coquine qui « aiment les arabes car ils sont ses frères en Christ » mais à condition qu'ils ne l'approchent pas trop aux Planches ou au Carré.

« Lepéniste », c'est même, je dois l'avouer, nettement plus stigmatisant que « fasciste « , car, d'une part, « fasciste » personne ne sait – en France- exactement ce que cela veut dire et que, d'autre part, on attribue aisément à cette « déviance » une complaisante étiquette « romantico-cinglée ».

Alors si le grand jeu est de se mesurer la bite à l'aune du « rebelle » qui « prend des risques », les « lepénistes » ont une très nette longueur d'avance.

Bien sûr, ca ne le rend pas plus intelligents, ni ne valide leur « idées » (pour autant qu'ils en aient) mais, à l'heure actuelle, c'est toujours ça de pris.

Eisangélie Hamond

dimanche 25 juillet 2010

Cette prostitution qui étouffe la Goutte d'Or

Même les Bobos en hurlent de dépit, on trouve d'ailleurs rue Doudeauville des calicots explicites dénonçant le fléau de la prostitution, au coeur de la Goutte d'or. Pourtant, les immigrés clandestins qui font office de nourrices à bas prix et les papas tamouls faisant la plonge au black dans tous les restaurants fréquentés par les nouveaux maîtres du 18e arrondissement, c'était le top au niveau économique...Sauf que certaines rues du quartier de la Goutte d'Or sont désormais sous la coupe des "Mamas" et de leurs protecteurs : pour 20 euros, direction un hall sordide d'immeuble, un couloir quelconque, pour un coup expéditif et peu onéreux. Les filles sont des gosses de 16,18 ans, issues de l'Afrique de l'ouest. Des victimes toutes désignées et passives. Et ce qui gêne nos amis les Bobos, de facto, ce n'est pas la somme de risques et l'avilissement menaçant ces jeunes prostituées noires, non, c'est juste que les rejetons friqués de la gauche caviar du cru n'ont pas à croiser la misère humaine, misère humaine due à la rapacité ou l'indifférence des nouveaux maîtres blancos qui commencent à coloniser la Goutte d'Or. Ajoutons enfin que le nombre de filles des rues ne fait que croître depuis 2010, malgré les descentes policières.

Laibach



Only one day is left
Only one day
We are leaving the others
We're going away
Today we all steal
Animals we are
Possession is lost
Our souls are from the wild
And wings to reach the sky
Let the sun fall into the ocean,
Let the earth erupt in flame
It is enough to have the strength
And knowledge
To raise our dream machines
Into the sky
Let them sleep who do not know
The final day is here
The very last
And we leave at dawn
Millions of machines on nitroglycerin
Thunder in us
There is no force no money and no power
To stop us now and change our fate
Before we rise
Now every problem is destroyed
We raise our hands and bodies to the peak
Into the Universe - towards the stars we go
Sending machines up to the sky

[Chorus]
Machines we are sending to the skies
Above us all
And leave behind those who don't know
Of the final day
We leave in sleep those who don't know
(and) we leave at dawn
We are driven by the B-machine
(Wild B-machine - that never stops)

Merci au Lutecia dandy club...

jeudi 22 juillet 2010

Marie est morte, à cause d’un pétard de 14 juillet


Marie, la femme de 63 ans gravement brûlée le 14 juillet par un engin d'artifice dans son appartement parisien, est morte des suites de ses blessures, a annoncé mercredi dernier le parquet de Paris. Dans la nuit du 14 au 15 juillet, cette résidente d'un appartement du XXe arrondissement avait été grièvement blessée par un pétard jeté depuis la rue sur son balcon à l'aide d'un mortier.

Que dire de plus ? Qu’elle était aimée de tous dans son immeuble, dans sa rue, dans son quartier ? Que la petite racaille qui trouvait amusant de balancer des pétards va s’en sortir, du haut de ses 16 ans, avec trois fois rien comme condamnation, dans quelques mois ? Que les pouvoirs publics se couvriront encore en annonçant la énième interdiction à la vente de ses engins pétaradants pouvant tuer…et toujours en vente dans des centaines de magasins Indo-pakistanais sur Paris. Et que, vu le mépris affiché envers nos lois par les « djeun’s » et les commerçants du grand Nord-Est parisien, il y aura certainement une autre Marie assassinée par connerie pure durant la prochaine fête nationale.

Cyril Bozonnet

dimanche 11 juillet 2010

Haut les drapeaux !



La moitié de la salle de rédaction de L'Echo parisien étant partie en vacances, pendant deux semaines, nous publierons au ralenti...Patrick, on compte sur toi !

samedi 10 juillet 2010

Tremblez, les Bleus !

De nombreuses personnalitées extérieures, de par le vaste monde, on indiqué être prêtes a aider le nouvel entraîneur de l'équipe de france de football dans son projet de rééducation de nos joueurs.
Yohann Gurcuff , à priori, n'est pas concerné.

Paul, poulpe germanique du CGB

vendredi 9 juillet 2010

Un rocker de l'UMP schizophrène

Le discours fondateur du parti de Dominique de Villepin

Thierry Mariani à la manoeuvre

Le député UMP du Vaucluse veut que la droite sarkozyste retrouve les mâles accents de la Présidentielle de 2007. Et pour ce faire, il vient cette semaine d'annoncer le lancement d'un collectif "Droite populaire", qui réunit une trentaine de députés "attachés aux valeurs de la victoire de Nicolas Sarkozy". Le but de la manoeuvre est clair, faire barrage à un Front National, selon Thierry Mariani, en poussant la majorité présidentielle à "retrouver une parole forte sur la sécurité, moins politiquement correcte".

Parler haut et fort, c'est bien, et on ne peut qu'applaudir le volontarisme affiché du député UMP. Là ou le bas blesse, c'est que le patron de la droite parlementaire n'a rigoureusement effectué que des effets d'annonces. Sur le délitement de la Nation, sur l'immigration et l'insécurité, sur la gestion de la crise, les promesses de 2007 n'ont pas été tenue. Et l'initiative de Thierry Mariani semble voué à l'échec, par la faute d'une évidente mauvaise volonté présidentielle.

Cyril Bozonnet

jeudi 8 juillet 2010

Gollnisch répond



"L'Echo parisien" a publié l'essentiel des déclarations des Le Pen contre le N° 2 du FN, Bruno Gollnisch, in "France-Soir" (30/6). Nous devons donc signaler que Bruno a répliqué dans une conférence de presse visible sur .

Morale de Morales


La Bolivie, un des pays les plus pauvres du monde, doit cracher 30 millions d'euros pour offrir un avion Falcon Dassault à son président d'extrême gauche, el companero Evo Morales.

Los mineurs dé Siglo XX, yé vous emmerde !

Carlos, la vérité

Le véritable objectif de l'agression de l'Opep, à Vienne le 21 déc. 75 ? La noble "cause palestinienne" n'en était que le prétexte. Il s'agissait en fait d'assassiner les ministres saoudien et iranien du Pétrole. Parce qu'ils s'opposaient à l'augmentation du prix de l'or noir, exigée par Saddam Hussein et Khadafi, commanditaires de Carlos. C'est ce qu'affirme le réalisateur du film "Carlos", Olivier Assayas, sur RFI (6/7).
De mon côté, j'ai eu accès à des photos récentes et confidentielles du terroriste, prises dans la prison où il moisit, et j'ai constaté qu'il ressemblait à présent moins à son idole le tueur Guevara qu'à Jacques Martin sur la fin de ses jours...
Décidément, le terrorisme n'est pas ragoûtant, vu de l'extérieur. Mais vu de près, il est à gerber.
P.G.

Insécurité tout azimut, dans le nord de Paris

Depuis le 18 juin dernier, deux jeunes âgés de 16 et 18 ans multipliaient les agressions sur le XIXe arrondissement, en utilisant une méthode d'étranglement. Se glissant derrière leurs victimes, ils les strangulaient littéralement, afin de leur arracher de force le code de la carte bleue tant convoitée. Ils n'auront pas hésité à procéder ainsi sur une femme de 89 ans. Les deux barbares ont finalement été interpellés jeudi dernier, grâce à une caméra de vidéosurveillance de l'avenue de Flandre (XIXe arr.)
Et mardi dernier, une jeune mère de famille portant un bébé de deux mois a été sauvagement massacrée en bas de son hall d'immeuble, place des Grandes-Rigoles (XXe Arr.)par des "jeunes" du quartier, mécontent qu'elle ai osé protesté contre un rodéo en minimoto, activité débile quotidiennement pratiquée par la faune locale. La jeune maman a perdu une dent dans l'affaire, et le quartier Jourdain, sous le choc, compte bien organiser un large rassemblement de protestation...Les voyous du coin en tremblent d'avance...

Allemand 1ère langue, pour l'élite scolaire des années 80

Un papier de "l'Express" sur Marine Le Pen

8JUIL/103

Marine Le Pen affole la droite

Le secrétaire d'Etat aux PME, Hervé Novelli, était déjà préoccupé avant. Avant que le climat pourri n'envahisse la scène politique, que le gouvernement ne se délite. Dans une note, puis au cours d'un tête-à-tête avec Nicolas Sarkozy, après les régionales, il avait pointé le danger que représente Marine Le Pen : « Elle s'est opposée à son père à chaque outrance, elle a une force de pénétration dans notre électorat impressionnante. »

Aujourd'hui, ses craintes redoublent. La droite s'inquiète, la droite s'affole. De la polémique déclenchée, au début d'avril, autour du compagnon de la conductrice verbalisée pour avoir porté un niqab au volant, à Nantes, à l'émotion suscitée par le drame d'un homme battu à mort au bord d'une autoroute dans les Yvelines, le 26 juin, en passant, donc, par les affaires, elle constate à quel point les questions d'identité, d'immigration, de sécurité et de morale rejaillissent dans l'opinion. Avec toutes les conséquences politiques qui peuvent en découler.

« Marine Le Pen apparaît comme une mère de famille, pas comme une extrémiste, elle réussit sur des thèmes populaires, donc elle peut faire mal », remarque le secrétaire d'Etat à l'Intérieur, Alain Marleix - argument qu'un député UMP résume d'une formule : « On n'imagine pas une mère mettre les gens dans un train... » « Elle constitue un vrai danger, ajoute le ministre de l’Agriculture, Bruno Le Maire. J'ai reçu des maires d'un canton qui a voté pour le Front national à 20 %, les électeurs recommenceront d'autant plus facilement que Marine Le Pen est une bonne candidate. » « Elle est plus adroite que son père, elle ne fera pas les mêmes dérapages que lui », complète la garde des Sceaux, Michèle Alliot-Marie.

Entre le père et la fille, ce n'est certes pas l'idéologie qui fait forcément la différence. Eric Woerth a reçu les deux ensemble, lors de ses consultations sur la réforme des retraites. « Ils sont pareils, sauf qu'elle a les mots de sa génération et la vivacité de son âge » raconte le ministre du Travail. Une nuance qui trouble tout de même la base UMP. Secrétaire national du parti présidentiel chargé des fédérations, Edouard Courtial a été frappé par le nombre de militants sarkozystes qui lui parlaient d'elle : « Quand allez-vous travailler avec Marine ? »Convaincu que le vrai danger, lors de l'élection présidentielle de 2012, se situe plus à l'extrême droite qu'au centre, Thierry Mariani, député du Vaucluse, confirme l'ampleur du problème : « De plus en plus de sympathisants me font remarquer qu'elle n'est ni raciste ni antisémite, qu'elle n'a jamais été condamnée, qu'elle exprime tout haut ce que les deux tiers de nos adhérents pensent tout bas et, surtout, qu'elle dit ce que disait le RPR il y a quinze ans ! » Du coup, il vient d'annoncer la création d'un club, Droite populaire.

Le doute gagne aussi certains petits élus. Un maire divers droite d'un village rural de Normandie, dans lequel le FN a atteint les 30 % aux régionales de mars, l'avance sans détour : une fois Jean-Marie Le Pen parti, il faudra « réconcilier les droites » : « Les socialistes l'ont bien fait avec le PC, pourquoi pas nous ? » Les états-majors parisiens de la majorité présidentielle se montrent certains de résister demain à toute tentation d'alliance avec un FN sous présidence Marine - ce qui ne fut pas toujours le cas dans le passé. Pour Patrick Devedjian, ministre de la Relance, « Marine Le Pen ne pourra pas s'associer à la droite : celle-ci n'en voudra jamais car elle s'appelle Le Pen. Son nom est son avantage et sa limite. » Le sénateur maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, se montre plus prudent : « Personne n'osera toucher à la règle de non-alliance tant que Jacques Chirac sera vivant. »

La vice-présidente du Front se délecte de gêner ainsi la majorité. « Aux régionales, c'est dans les cantons où l'on avait perdu le plus de voix au profit de Nicolas Sarkozy, en 2007, que l'on a le plus remonté », se réjouit- elle, en relevant aussi la percée du FN auprès des personnes âgées, « colonisées jusque-là par I'UMP », et au sein d'un certain électorat « bourgeois » (professions libérales, artisans, commerçants), qui avait assuré son succès dans les années 1980. Pour la première fois depuis cette époque, son meilleur score à Paris s'est situé dans le XVIème arrondissement. Au Touquet, station chic du Pas-de-Calais, la liste de Marine Le Pen égale le score de son père au premier tour de la fameuse présidentielle de 2002. « L'électorat du FN reste dans l'attente, nuance Pascal Perrineau, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences po (Cevipof). Quand Nicolas Sarkozy lancera sa campagne, beaucoup vont se repositionner. »

Pour l'heure, Marine Le Pen, qui espère, à terme, couper le cordon sanitaire autour du FN, travaille sa respectabilité : « Depuis huit ans, je donne de nous, auprès des sympathisants UMP, l'image d'un parti normal. » Elle est persuadée d'avoir marqué des points durables dans cet électorat de droite - « en proie au doute » - en lançant la polémique sur le livre de Frédéric Mitterrand à l'automne dernier et souligne qu'en « nommant des bobos de gauche partout, Sarkozy a violé sa promesse de rompre avec l'esprit de Mai 68, qui était un axe fort de la présidentielle - pour les gens de droite, ces personnalités sont des antivaleurs ». Une analyse qu'elle a transformée en argument électoral durant les régionales.

Dans la perspective de 2012, la prétendante à la succession de Jean-Marie Le Pen (elle sera opposée à Bruno Gollnisch ; les candidatures sont officielles depuis le 1er juillet) a déjà commencé à roder des thèmes de campagne auxquels une partie de la majorité est naturellement sensible : régulation de l'immigration, lutte contre le mondialisme, attachement à la tradition, fermeté contre l'insécurité, moralisation de la vie politique. Elle veut donc séduire, mais sans se laisser embrasser. « Je ne rentrerai pas dans un gouvernement UMP, car il réalise tout ce que je combats », affirme-t-elle, sûre de peser plus avec un FN à 15 ou 18 % qu'avec deux portefeuilles ministériels. Et de souligner une vraie différence, à ses yeux, avec les responsables de droite : « Moi, je n'éprouve pas de fascination pour le pouvoir. »

Eric Mandonnet et Romain Rosso

mercredi 7 juillet 2010

Braquage de banque...Au bulldozer

5 heures du matin, au 76 rue Curial, dans le XIXe arrondissement de Paris...Un gigantesque bruit réveille les habitants de cet immeuble qui possède une succursale de la Société Générale. Un gros engin de chantier vient de s'écraser sur la façade de l'agence bancaire, mais sans parvenir à éventrer le distributeur automatique de billets. C'est donc bredouille que s'enfuiront les gangsters. L'enquête a été confiée à la 2ème DPJ.

Sans commentaire

Un groupe français, monsieur !

"J'ai envie de les étrangler !"

Cri du coeur dans les travées de l'Assemblée nationale, hier, de la part d'Eric Woerth, un ministre sur la sellette depuis deux semaines. Une "envie d'étrangler" tous ceux qui poussent à sa démission. Car bien sûr, le ministre se défend d'avoir touché le moindre billet de banque de la part de Liliane Bettencourt, héritière du groupe L'Oréal et première fortune de France. Un peu court, quand tous les candidats de droite avaient pris l'habitude, avant chaque échéance électorale, d'aller quémander enveloppes et valises à une famille n'ayant jamais hésité à dépenser sans compter pour assurer la défense de ses idéaux politiques. Une seule question se pose : Si le ministre est innocent, pourquoi répond-t-il par ellipse à cette question simple, à savoir, si oui ou non a-t-il récupéré de l'argent pour la campagne de 2007 auprès des Bettencourt ? Pour le moment, la réponse donné par Eric Woerth ne satisfait personne.

Cyril Bozonnet

mardi 6 juillet 2010

"Ring", web magazine pour jeunes gens de droite chics et branchés

Depuis des années, ce webmagazine recule bien des limites, afin d'offrir aux jeunes gens d'une droite aussi moderne que de conviction un espace où l'intelligence passe par le nécessaire reniement des valeurs frelatées de Mai 68. Le retour des hommes de combats littéraires contre la tyrannie des Bien-pensants d'une gauche à bout de souffle. "Ring", ou le pain dans la gueule salutaire...

Le FN s'enracine dans les Yvelines

Dimanche dernier, lors du 1er tour des élections législatives partielles de Rambouillet (Yvelines), le candidat frontiste Philippe Chevrier a réalisé près de 7,5% des suffrages, soit plus du double que lors de la précédente partielle de septembre 2009 (2004 voix versus 913). Un scrutin qui aura vu la percée des Ecolo-socialistes et un affaissement de l'UMP.
Maintenant, sociologiquement, sur Rambouillet, les frontistes sont plutôt conservateurs, et en l'absence de consigne de vote lepeniste pour le second tour, le candidat UMP pourrait bien remporter cette élection, avec l'appui des 4% de votants venus du Nouveau Centre.



Le candidat frontiste a doublé son score en un an, passant de 913 à 2004 votants

Les 13 bandes de Belleville et le préfet de Paris

Moment de vérité au Conseil de Paris, lundi dernier : les quatre maires dont les mandats incluent le quartier de Belleville (à cheval entre les Xe,XIe,XIXe et le XXe arrondissement) viennent d'écouter le préfet de Paris, qui vient tenter de les rassurer sur le travail de la police parisienne dans ce quartier sensible. Peine perdu, les quatre élus semblent peu convaincus par les quelques arrestations de voyous et exigent le retour d'une police de terrain, capable d'identifier sur le long terme les chefs de bandes et de contrer à l'avance leurs agissements. Il est vrai que sur Belleville, la situation est critique, pour preuve la multiplication des agressions sur les riverains, dont beaucoup de ressortissants chinois. Avec une impressionnante manifestation clairement sécuritaire, ces derniers ont d'ailleurs montré, en mobilisant 20 000 riverains, que l'insécurité est devenu le problème numéro Un pour une communauté connu epour sa sérénité...
"Nous avons identifié 13 bandes qui s'adonnent à des actes de délinquances sur Belleville", indiquait ce lundi le préfet de paris, Michel Gaudin....Vous attendez quoi pour leur "briser les reins", à cette engeance qui pourrit ce quartier.
?




Monsieur le Préfet peut mieux faire, sur Belleville !

L'absentéisme de Christine Lagarde énerve tout le monde

Petite révolution, au Conseil de Paris, ce mardi, avec l'exceptionnelle présence de la ministre du Budget, Christine Lagarde, mais il faut dire que la séance du jour porte sur le budget de Paris.

De facto, les élus de base de l'UMP du XIIe commencent à en avoir marre des "stars" gouvernementales qui sont bien sûr ravies de toucher et leur salaires de ministre ou secrétaire d'Etat ET leur revenu de Conseiller de Paris, mais qui, soit sont carrément absentes aux délibérations du Conseil, soit, et c'est franchement pire, se pointent tôt le matin pour émarger leur feuille de présence, et se tirent tranquillement vers des cieux plus important que le Conseil de Paris.

En brut, c'est 4095,65 que touche en moyenne un Conseiller de Paris. Il est vraiment temps que Bertrand Delanoé fasse voter une loi en interne refusant le versement de toute indemnité à un conseiller de Paris qui serait absent lors du Conseil.

C'est la moindre des choses, à 4095,65 euros brut...



Une des nombreuses "cumulardes" de la République

lundi 5 juillet 2010

Les Le Pen attaquent Gollnisch

"Aubry, Sarkozy, Gollnisch... Les Le Pen passent à l'attaque" : titre énorme, sur presque toute la une de "France-Soir" (30/6). Marine : "Moi, ce que je vise, c'est la victoire au second tour (de la présidentielle 2012). La présidence du FN, c'est, pour moi, le premier étage de la fusée présidentielle. (...) Bruno (Gollnisch) est un homme extrêmement respectable dont j'aurai besoin, mais c'est un prof d'université, assez loin du terrain."
Jean-Marie : "Le problème de Gollnisch, c'est que ses amis sont extérieurs au Front, parce qu'ils l'ont quitté : Pierre Carl Lang, Bernard Antony, Jacques Bompard. Bruno veut organiser, comme il dit, le retour au bercail de toute l'extrême droite. Et puis il y a son ami Pierre Sidos..."
Marine : "Moi, je n'entends, ni aujourd'hui ni demain, m'allier à l'UMP. En revanche, Bruno est beaucoup moins clair sur ce sujet. C'est un fait : ceux qui soutenaient Gollnisch et ont quitté le FN sont tous allés se vendre à l'UMP."

propos recopiés par
Patrick Gofman

dimanche 4 juillet 2010

Benjamin Lancar persiste et signe

La semaine dernière, sur les ondes de "Beur FM", le patron des jeunes à l'UMP Benjamin Lancar avait affirmé que les joueurs de football vaincus lors de ce Mondial étaient "une équipe de racailles, de caïds". Tollé général chez les bien-pensants, Mouvement des Jeunes socialistes en tête (MJS), qui hurle au racisme. Loin de se démonter, sur son blog, Benjamin Lancar parle de "tensions ethniques" au sein des Bleus et ne regrette aucun de ses propos. Bien joué, car n'oublions pas que le président des Jeunes Pop est en campagne électorale interne, et qu'il est bon pour lui de se positionner en défenseur de l'ordre, face à la détestable image donnée par une équipe nationale capable de se rebeller contre son propre entraîneur. En août prochain, les militants et adhérents des jeunes UMP désigneront leur prochain chef, et nul doute que Benjamin Lancar veut se positionner comme un homme à poigne.

Patriotes d'outre-Atlantique

Le bonheur n'existe que par comparaison

vendredi 2 juillet 2010

Poésie en costume sombre

France Inter : Ouin-Ouin chez les Bobos

Jeudi 1er juillet à 18h, devant les locaux de la radio de service public France-Inter : 2000 cocos, socialos, syndicalo-comiques viennent pleurnicher contre le licenciement des humoristes Stéphane Guillon et Didier Porte. Il faut dire que le vilain nain Sarkozy, par le truchement du traître à la cause socialiste Val, aurait fait pression sur l'honorable vieille dame de la radio publique pour dégager les deux comiques troupiers. Le fond du problème, en vérité, est d'ordre sémantique. On peut détester l'homme Sarkozy, certes, mais respecter un minimum le président de la République française. Dire sur les ondes publiques qu'on l'encule se nomme, en terme de droit, "Offense au Chef de l'Etat", et ça se paye cher au tribunal. Les deux clowns Guillon et Porte auront joué aux cons, et ils ont perdu, tant pis pour eux. J'ajoute que si certaines saillies de Porte déclenchaient le rire, la nullité crasse et la méchanceté gratuite de Guillon ne faisait rire plus grand-monde chez les auditeurs. Enfin, amis de toutes les droites, ne boutons pas notre plaisir, deux faux rebelles du PAF estampillés "je suis un homme de gauche puni par le fascisme rampant" ne viendront plus polluer les ondes du service public. Remarquez, avec la possible arrivée du socialisto-bobo Christophe Alévêque, cuistre gauchard pressenti pour remplacer les deux clowns virés, le pluralisme "Gauche-Droite" sur Inter, c'est toujours pas gagné. A la rédaction de l'Echo parisien, remarquez, on s'en fiche, on écoute que Radio Courtoisie et Ouie-Fm, la radio rock des moins de 20 ans...

Cyril Bozonnet

jeudi 1 juillet 2010

France éternelle...

On fabrique l'actualité qu'on peut, à l'UMP

Désespérant Frédéric Lefebvre. Avec sa dernière sortie, les lettres de noblesse de la politique se sont encore encrassées. Alors que le pays est en plein marasme économique, que les citoyens se serrent de plus en plus la ceinture, que les charges fixes des ménages ne font qu'augmenter, qu'est ce qui préoccuperait les Français, selon l'actuel porte-parole de l'UMP ? l'arbitrage vidéo, pour pallier les erreurs commises par les hommes en noir qui s'agitent sur les pelouses du Mondial 2010. Le 28 juin dernier, une campagne pétitionnaire UMP demandant l'instauration de l'arbitrage est lancée. Le prix du timbre augmente, la carte de transport, le gaz et l'électricité font de même, et que fait le porte-parole du parti gouvernemental ? Il suit aveuglément les recommandations d'un quelconque cénacle de "communiquants" qui vendent de l'UMP comme de la lessive, Bobos droitards à cheveux mi-longs, costards de luxe et barbe de trois jours taillée. Des communiquants qui pensent encore que le foot reste un opium du peuple, idéal rideau de fumée. Plus en France, maintenant que la bande à Domenech à failli...