Et qui retrouve-t-on au Comité Colbert? La maison Yves Saint Laurent. Vous savez celle de Monsieur Pierre Bergé. Celui qui n'aurait pas pleuré si une bombe avait explosé au milieu de notre manif du 24 mars. Brave type. Ses homologues du Comité Colbert, qu'en ont-ils vraiment à faire des 100.000 emplois occupés en majorité par des français de souche attachés au savoir-faire porteur des valeurs de l'artisanat directement issu de nos traditions de travail? Rien. Pour eux, ce qui importe, c'est uniquement la marge qu'ils vont tirer du tourisme. A leur unique profit. Aussitot évanoui dans des placements apatrides. Et ces pleureuses continueront de payer à leurs produits de luxe des pages de pub aux tarifs exhorbitants dans une presse complice qui continuera de vanter le métissage, les chances pour la France, la discrimination positive, l'aide aux migrants mal-logés, le droit à la différence, le bonheur supérieur d'un gosse qui a deux "mamans" ou deux "papas" dans la chambre d'à côté... Monsieur Bergé, il vous reste de la vaseline?
Raoul a raison, comme (presque) toujours. Je sais bien que le luxe n'est pas notre ami. Quant aux emplois dont il feint de s'inquiéter, j'ai déjà (janvier 2011) rapporté ici où et comment il les délocalisait : http://parolesdemilitants.blogspot.fr/2011/01/paris-capitale-du-luxe-made-in-tiers.html En affectant, à mon tour, de prendre au sérieux les craintes du luxe pour l'emploi, je lui fait une bonne prise de judo. P. G.
Et qui retrouve-t-on au Comité Colbert?
RépondreSupprimerLa maison Yves Saint Laurent. Vous savez celle de Monsieur Pierre Bergé. Celui qui n'aurait pas pleuré si une bombe avait explosé au milieu de notre manif du 24 mars. Brave type.
Ses homologues du Comité Colbert, qu'en ont-ils vraiment à faire des 100.000 emplois occupés en majorité par des français de souche attachés au savoir-faire porteur des valeurs de l'artisanat directement issu de nos traditions de travail? Rien.
Pour eux, ce qui importe, c'est uniquement la marge qu'ils vont tirer du tourisme. A leur unique profit. Aussitot évanoui dans des placements apatrides.
Et ces pleureuses continueront de payer à leurs produits de luxe des pages de pub aux tarifs exhorbitants dans une presse complice qui continuera de vanter le métissage, les chances pour la France, la discrimination positive, l'aide aux migrants mal-logés, le droit à la différence, le bonheur supérieur d'un gosse qui a deux "mamans" ou deux "papas" dans la chambre d'à côté...
Monsieur Bergé, il vous reste de la vaseline?
Raoul a raison, comme (presque) toujours. Je sais bien que le luxe n'est pas notre ami. Quant aux emplois dont il feint de s'inquiéter, j'ai déjà (janvier 2011) rapporté ici où et comment il les délocalisait : http://parolesdemilitants.blogspot.fr/2011/01/paris-capitale-du-luxe-made-in-tiers.html
SupprimerEn affectant, à mon tour, de prendre au sérieux les craintes du luxe pour l'emploi, je lui fait une bonne prise de judo. P. G.