5 octobre 2013. Après la messe du souvenir de Serge de Beketch,
la bénédiction de sa tombe au Père-Lachaise, un solide déjeuner avec
sa famille et ses amis les plus proches, le patron de l'orphelinat de Riaumont remonte les Champs-Elysées avec l'Union nationale des Parachutistes. (Photo E. Roucheray/"L'Echo parisien").
Le pere Argouac'h est un saint homme
RépondreSupprimerLa photo montre bien que ces saligauds ne sont plus foutus de marcher au pas ! J' te les dresserais, moi !
RépondreSupprimerévidemment ! Quand on sait qu'il y a de plus en plus de femmes à l'armée ! Cette féminisation des corps d'élite - voulue par la vermine féministe - ne peut que, hélas, les "démasculiniser"
SupprimerLes femmes sont faites pour donner la vie et non pour apprendre à l'enlever, ni à marcher au pas .
Chère Marie,
RépondreSupprimerPour avoir assisté à cette cérémonie de réanimation de la flamme du soldat inconnu par ces bérets rouges, vétérans dont la moyenne d'age devait se situer au-delà de 70 ans, le pas mal cadencé de ces hommes devait plus à l'arthrose qu'au jemenfoutisme ou à la féminisation que vous désignez. Et je puis vous dire que l'émotion des badauds, figés sur leur passage, marquait plus de respect que d'ironie.
Gofmanement vôtre.
cher Raoul,
SupprimerMerci pour cette réponse plus sage que mon commentaire et celui de Patrick Gofman réunis.
Ces honorables anciens combattants ont, certes, toutes mon estime.
Mais Je suis certaine que l'armée actuelle est, en partie, affaiblie à cause de la participation féminine qui s'y accroit.
meme, s'il y en a de bien courageuses, je pense que ce n'est pas leur rôle
cordialité française.