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samedi 22 août 2020

Nabokov dans le métro parisien

“Le métro empeste comme entre les orteils et on y est aussi serré. Mais j'aime bien le claquement des tourniquets métalliques, les graffitis sur les murs ("merde"), les brunes aux cheveux teints, les hommes qui sentent le vin et les noms sonores et figés des stations…” (Lettre à Véra).


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