La politique, c'est le lieu par excellence où se croisent, parfois pendant sept ans - ce qui est déjà beaucoup trop -, parfois même sur plusieurs décennies, des gens qui ne sont pas grand chose et se croient tout, des perroquets boursouflés du moi et d'ailleurs (cet ailleurs qui inspira quelques niaiseries écrites à l'un des leurs), beaucoup dans le paraître, peu dans l'être, moins encore dans le faire - sauf contre la volonté du peuple et le bien de la nation. Et qui nous font saigner les oreilles avec leurs deux plus célèbres mantras : République et Démocratie, afin d'à peine tenter de faire oublier que la chose publique, ces cyniques et leurs petits copains se la sont foutue dans la poche depuis longtemps; et que le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple est une blague que ces mêmes perroquets arrogants - à qui leurs vieilles mamans ou leurs vieux papas-gâteaux ont fait croire qu'ils étaient des génies - se racontent dans les pissotières dorées payées par "ceux qui ne sont rien". Lesquels, modestement, discrètement, patiemment, comme le leur ont appris leurs parents et leurs instituteurs, s'évertuent à rebâtir et consolider ce que ceux qui les méprisent et les appauvrissent à mesure qu'ils gonflent leurs avoirs, ont détruit ou pillé.
La politique, c'est le lieu par excellence où se croisent, parfois pendant sept ans - ce qui est déjà beaucoup trop -, parfois même sur plusieurs décennies, des gens qui ne sont pas grand chose et se croient tout, des perroquets boursouflés du moi et d'ailleurs (cet ailleurs qui inspira quelques niaiseries écrites à l'un des leurs), beaucoup dans le paraître, peu dans l'être, moins encore dans le faire - sauf contre la volonté du peuple et le bien de la nation. Et qui nous font saigner les oreilles avec leurs deux plus célèbres mantras : République et Démocratie, afin d'à peine tenter de faire oublier que la chose publique, ces cyniques et leurs petits copains se la sont foutue dans la poche depuis longtemps; et que le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple est une blague que ces mêmes perroquets arrogants - à qui leurs vieilles mamans ou leurs vieux papas-gâteaux ont fait croire qu'ils étaient des génies - se racontent dans les pissotières dorées payées par "ceux qui ne sont rien". Lesquels, modestement, discrètement, patiemment, comme le leur ont appris leurs parents et leurs instituteurs, s'évertuent à rebâtir et consolider ce que ceux qui les méprisent et les appauvrissent à mesure qu'ils gonflent leurs avoirs, ont détruit ou pillé.
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