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lundi 26 octobre 2009

C’est un jeu dangereux auquel se livre dans Paris, depuis des mois, des bandes de braqueurs.
Risquant leur peau et celles des passants se trouvant à proximité des distributeurs de billets de banque, en plein jour, passant entre deux potelet, ils écrasent une voiture préalablement volée sur la façade du distributeur. Parfois, la manœuvre rate. Parfois, c’est 3000, 6000 euros qui sont dérobés, au maximum.

Par ailleurs, les banques et les fourgons blindés étant devenues des sanctuaires imprenables, la racaille n’a d’autre choix que d’attaquer le maillon faible, comprenez les malheureux dabistes, ces salariés smicards qui risquent leur peau au quotidien. Sans arme pour se défendre, tant qu'à faire...

A quand le premier décès dans leurs rangs ?




Les braqueurs déjantés de Paris

C’est un jeu dangereux qui se livre dans Paris, depuis des mois, des bandes de braqueurs.

Risquant leur peau et celles des passants se trouvant à proximité des distributeurs de billets de banque. En plein jour, passant entre deux potelet, ils écrasent une voiture préalablement volée sur la façade du distributeur. Parfois, la manœuvre rate. Tout ça pour un butin modeste, 3000, 6000 euros qui sont dérobés, au maximum.

Les banques et les fourgons blindés étant devenus des sanctuaires imprenables, la racaille n’a d’autre choix que d’attaquer le maillon faible, comprenez les malheureux dabistes, ces salariés smicards qui risquent leur peau au quotidien.

A quand le premier décès dans leurs rangs ?

jeudi 22 octobre 2009

60 bandes se partagent les quartiers de Paris


Et parmi lesquelles une quinzaine sont violentes, nous indique un récent rapport de la préfecture de police. Nous voilà rassuré, on avait commencé à avoir peur. Sachez aussi que 1300 voyous ont été arrêtés par les forces de l’ordre l’an dernier, avec des couteaux et des battes de base-ball comme équipement de travail…On imagine combien de leurs petits amis (ou concurrents) doivent se balader, ainsi équipés, les vendredi et samedi soir, dans la nuit parisienne.

Le bilan ? 3 morts et une dizaine de blessés pour la mi-20009. Et l’année n’est pas encore achevée.

lundi 19 octobre 2009

Par ici, les cochons de payeurs !


Au dernier Conseil de Paris, Bertrand Delanoë a été très clair, la hausse des impôts locaux était à l’ordre du jour. Pour 2009, les Parisiens viennent donc de se voir notifier la hausse de 9% des quatres taxes locales directes (taxe d'habitation, foncier bâti et non bâti et taxe professionnelle), ainsi que la création d'une taxe foncière départementale de 3%. Ces hausses, additionnées, entrainent donc une hausse de la taxe foncière de 28,75%.

Inutile de rappeller les dernières promesses électorales de Bertrand1er, qui avait rassuré le bon bourgeois en affirmant ne pas trop abuser, fiscalement parlant. Manifestement, c’est raté, et le moindre contribuable parisien doit méchament grincer des dents en regardant sa feuille d’imposition.

Mais les capacités moutonnières du parisien, certes fort élastiques, ont des limites. Pourquoi donc ne pas voter aux prochaines élections régionales de 2010 pour une candidate résolument anti-fiscaliste, à savoir Marie-france Arnautu, tête de liste FN françilienne ?

dimanche 18 octobre 2009

Daniel Vaillant, toujours la grande forme.


Quand « Notre bon maire » du XVIIIe ne se déguise pas en juge de paix pour éviter que ses amis socialistes ne se déchirent entre Aubrystes et Royalistes, il lui arrive de prendre position sur des sujets de société. Comme la drogue, par exemple.

Toute personne qui a malheureusement eu à faire avec des fumeurs réguliers de shit connaît le stade de dépendance élevé, le coût, la baisse des capacités intellectuelles et physiques qu’occasionne le joint. Tous les professionnels « honnêtes » de santé savent enfin que pour passer aux drogues dures, coke, héro et crack, il faut généralement avoir fumé de l’herbe.

Alors, lire dans le journal que le maire socialiste prône la légalisation du shit est un véritable scandale. D’autant plus que Daniel Vaillant, ancien ministre de l’Intérieur sous le gouvernement Jospin, élu d’un XVIIIe arrondissement dont trois quartiers (Barbès, la Goutte d’or et la Chapelle) sont des supermarchés à came, est lui-même responsable, par son inaction politique, de cette situation des plus désastreuses.