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mercredi 25 novembre 2020

mardi 24 novembre 2020

Agitation-propagande immigrationniste pl. de La République à Paris (23 nov.)

 Policiers et gendarmes agressés.

Déchaînées sur Europe1 (23 nov. 20)

 Anne Roumanoff : Ben c'est comme moi hier j'ai couru 18 minutes, et dans le noir !

Lea Lando : Ça c'est l'envie d'être violée…

AR : Alors ça c'est patriarcal et sexiste.

LL : Oah on peut plus rien dire !

lundi 23 novembre 2020

"CES ÉVÉNEMENTS NOUS DÉPASSENT…

 

…FEIGNONS D'EN ÊTRE LES ORGANISATEURS."

samedi 21 novembre 2020

Starring Gofman, Plégelatte, Delgrandi et alumni

Photoroman numérique circa 1970 = 0,99 € @ amazon.fr 😋

vendredi 20 novembre 2020

mardi 17 novembre 2020

lundi 16 novembre 2020

dimanche 15 novembre 2020

vendredi 13 novembre 2020

Marcelle, t'es rien lourd


Depuis 2017, le compagnon de route de l'abjection stalinienne 
Jérôme Leroy est à l'origine d'une "Carte Noire" dans la collection Petite Vermillon (
La Table Ronde), qui lui permet de “rééditer des titres oubliés ou trop peu lus du roman noir français”. Des bides et des flops de copains, quoi. Comme "Terrain lourd" de mon ex-ami Pierre Marcelle (Fayard/noir, 1981).Cet auteur oublié-ou-trop-peu-lu m'avait généreusement versé 300 F (environ 46 €) pour relire et corriger sa daube. Espérant une augmentation, je lui avais offert cette "4e de couverture", que j'ai un certain plaisir à retrouver intacte sur le site de Fayard, 40 ans après : 
Quand à l'ouest il pleut de nouveau, quand le Stade Malherbe caennais est encore parti pour prendre une danse à domicile, quand on est un bon mec comme moi, que le terrain est lourd et qu'on va devenir un assassin… Si vous saviez comme on se sent seul ! Il vaudrait mieux que vous le sachiez, parce que ça vous pend au nez : il suffit d'une garce.    Patrick Gofman   

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                    

 

Les leçons de morale continuent…

 

…tous les soirs sur TMC !
Les leçons d'orthographe aussi.

 https://nouvelle-librairie.com/

jeudi 12 novembre 2020

mercredi 11 novembre 2020

lundi 9 novembre 2020

C'est pour fêter l'érection pestilentielle de Bidon ?

 

…que TF1 nous passe ce chouette film ?
100 % antiraciste, rassurez-vous. P. G.

dimanche 8 novembre 2020

vendredi 6 novembre 2020

Les animaux malades de la peste

 

Livre septième, fable I

Jean de La Fontaine (1621-1695)

« Un mal qui répand la terreur,

Mal que le Ciel en sa fureur

Inventa pour punir les crimes de la terre,

La peste (puisqu’il faut l’appeler par son nom),

Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,

Faisait aux animaux la guerre.

Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés :

On n’en voyait point d’occupés

À chercher le soutien d’une mourante vie ;

Nul mets n’excitait leur envie ;

Ni loups ni renards n’épiaient

La douce et l’innocente proie.

Les tourterelles se fuyaient :

Plus d’amour, partant plus de joie.

Le lion tint conseil, et dit : "Mes chers amis,

Je crois que le Ciel a permis

Pour nos péchés cette infortune ;

Que le plus coupable de nous

Se sacrifie aux traits du céleste courroux,

Peut-être il obtiendra la guérison commune.

L’histoire nous apprend qu’en de tels accidents

On fait de pareils dévouements :

Ne nous flattons donc point ; voyons sans indulgence

L’état de notre conscience.

Pour moi, satisfaisant mes appétits gloutons

J’ai dévoré force moutons.

Que m’avaient-ils fait ? Nulle offense :

Même il m’est arrivé quelquefois de manger

Le berger.

Je me dévouerai donc, s’il le faut ; mais je pense

Qu’il est bon que chacun s’accuse ainsi que moi :

Car on doit souhaiter selon toute justice

Que le plus coupable périsse.

‒ Sire, dit le renard, vous êtes trop bon roi ;

Vos scrupules font voir trop de délicatesse.

Eh bien ! manger moutons, canaille, sotte espèce,

Est-ce un péché ? Non, non. Vous leur fîtes, Seigneur,

En les croquant beaucoup d’honneur.

Et quant au berger l’on peut dire

Qu’il était digne de tous maux,

Étant de ces gens-là qui sur les animaux

Se font un chimérique empire."

Ainsi dit le renard, et flatteurs d’applaudir.

On n’osa trop approfondir

Du tigre, ni de l’ours, ni des autres puissances,

Les moins pardonnables offenses.

Tous les gens querelleurs, jusqu’aux simples mâtins,

Au dire de chacun, étaient de petits saints.

L’âne vint à son tour, et dit : "J’ai souvenance

Qu’en un pré de moines passant,

La faim, l’occasion, l’herbe tendre, et je pense

Quelque diable aussi me poussant,

Je tondis de ce pré la largeur de ma langue.

Je n’en avais nul droit, puisqu’il faut parler net."

À ces mots on cria haro sur le baudet.

Un loup quelque peu clerc prouva par sa harangue

Qu’il fallait dévouer ce maudit animal,

Ce pelé, ce galeux, d’où venait tout le mal.

Sa peccadille fut jugée un cas pendable.

Manger l’herbe d’autrui ! quel crime abominable !

Rien que la mort n’était capable

D’expier son forfait : on le lui fit bien voir.

Selon que vous serez puissant ou misérable,

Les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »

mercredi 4 novembre 2020

Officines de sondages ? Ou de propagande ?

Connery, pour sa femme (1975-2020), "un homme modèle"


 

En 2012, le site américain Gawker (et sur Première en France) ressort une vidéo de 1987 où Sean Connery tient des propos ambivalents sur la violence conjugale. Dans cette vidéo, Sean Connery est interviewé par Barbara Walters, une journaliste, qui lui remémore une déclaration qu'il a faite en 1965 : "Il y a plus grave que de frapper une femme une fois de temps en temps." L'acteur se rappelle très bien de ses propos et affirme à Barbara Walters qu'il n'a toujours pas changé d'avis sur ce sujet : "Je n'ai pas changé d'avis. Je ne pense pas que ce soit bien [de gifler une femme] mais je ne pense pas non plus que ce soit une mauvaise chose. Cela dépend des circonstances et si elle le mérite." La journaliste lui demande donc quelles sont les raisons de ce mérite : "Si vous avez essayé toutes les autres options. (...) Quand elles veulent vraiment avoir le dernier mot et que la situation est très provocante, alors je pense que c'est absolument approprié."