Pas besoin d'aimer le PSG…

…pour détester l'OM ! 

Crue de la Seine à Paris

 

C'est la faute à Hidalgo !

 

Centenaire de "L'Humanité" stalinienne

 

Régie autonome des Transports parisiens

 https://www.capital.fr/economie-politique/primes-ubuesques-travail-

peu-productif-la-gestion-rh-de-la-ratp-severement-epinglee-1391800

YULKA !

http://www.juliakovalchuk.ru/music/chuvstvuy/

 

"Beautés du passé ramenées à la vie"

YOURI LYNCHÉ PAR 10 "JEUNES" À PARIS 15

 

BFM appelle ça une "rixe" !

L'assaut du Capitole US, "sans précédent" ?

 

Du moins les gros médias passent sous silence

les crimes de l'extrême gauche.

"Meet John Doe" (1941)

 

Édifiant dialogue entre Gary Cooper et Barbara Stanwyk.

Naturellement, c'est la faute à Gofman…

 

Un transsexuel à la Santé des USA !

 

Journal trotskiste, N° paru en Mai 68 = 10 €

 

CLIC

Il voulait nous apporter des vaccins de Belgique, mais…

 

Je conseille le film "Opération Jupons", ce soir…

 

à 22 h 30 sur Arte. Très drôle (une bande de gonzesses déchaîne le chaos sur un sous-marin rose de l'US Navy, pendant la Seconde Guerre mondiale). Film de 1959, au machisme sans complexes, et affectueux (mariages en série à la fin) :

— Commandant, une femme à bord ça porte malheur… Alors cinq !

— Que voulez-vous que j'y fasse ? Que je les jette par-dessus bord ?

— C'est à envisager…

                                                                 P. G. 😄

J'ai lu avec intérêt

 

‌ Quand Béraud rendait visite aux dictateurs d’Europe ‌ (La première édition de ce livre est parue en 1933 chez Flammarion sous le titre Dictateurs d’aujourd’hui). Les dictateurs décrits par Henri Béraud étaient ses contemporains. Grand reporter, il avait pu rencontrer tous ces hommes qui ont laissé une trace dans l’Histoire : Benito Mussolini, Primo de Rivera (le père de José Antonio), Monseigneur Seipel, le régent Horty, Thomas Masaryk, Edouard Benes, Pilsudski, Mustapha Kemal. À la date de parution de l’ouvrage, il manque le dictateur qui domine tous les autres, par l’importance de sa zone d’action comme par la férocité de son règne : le tyran rouge Joseph Staline. Béraud ne l’a pas rencontré lors de son séjour au pays des soviets, en 1925. Et après la publication de ses 31 reportages dans “Le Journal”, et surtout après leur publication en livre, la même année, il ne prendra évidemment pas le risque de retourner en URSS pour tenter de rencontrer le bourreau de son propre peuple, au risque de disparaitre lui-même mystérieusement, comme d’autres pendant cette période. Quant à Adolf Hitler, il vient tout juste d’accéder au pouvoir (janvier 1933) et il n’a pas encore eu le temps de démontrer son « savoir-faire » de dictateur omnipotent. Mais il est vrai que tous les dictateurs rencontrés par Béraud, et décrits dans ce livre, vont bientôt paraître des modérés, des hommes « de consensus et de dialogue constructif et valable, dans le pluralisme des idées » (pour parler comme un curé progressiste des années 1960), comparés au Petit Père des peuples soviétique et au Führer du IIIe Reich. Pour qui connait Béraud, la foule, le peuple, la nation en armes, passent avant les grands hommes. La première vertu de cet ouvrage est de nous dresser les portraits de ces hommes, même s’il s’agit d’esquisses, de photos rapides, et de mots notés lors de conversations à bâton rompu, pas de biographies ou de portraits en pied. C’est ce qui fait le charme de ses reportages et permet de les relire près d’un siècle plus tard avec plaisir. Un panorama exhaustif, riche en couleurs, des hommes d’État qui dirigent les pays dont le régime de gouvernement est fort. Dictateurs de l’entre-deux guerres, Henri Béraud, préface de Francis Bergeron, Éditions Déterna, 176 p., 25 euros.

https://francephi.com/livre/dictateurs-de-lentre-deux-guerres

 

Vaccination contre le Covid-19 : le gouvernement a fait appel à quatre cabinets de conseil privés

 

…car il ne saurait s'en tirer par lui-même !

Et d'ailleurs, c'est toujours toi qui paies.

Le calendrier julien (orthodoxe) creuse son retard : 14 jours !

 

…et tout ça pour embêter Grégoire XIII !

Regard sur la société américaine

 

Jacques Marchais - Elsa (Aragon, Ferré)

Younès se tape la tête contre un mur et accuse la police !

 L’homme était interpellé par la police, à la gare Saint-Lazare (Paris), pour non-port du masque. Mais la situation a dégénéré (outrages, menaces d'égorgement) et il s’est retrouvé assis par terre avant de se frapper le tête contre le mur pour faire croire à une violence policière.

Il avait déjà 12 mentions à son casier judiciaire et était en liberté surveillée. Mais il n'est toujours pas en prison.

Kouchner PARLAIT de "péter la gueule" de Duhamel, violeur de son fils

 À coups de stylo ?

L'affaire Gabriel Matzneff qui a éclaté avec le livre "Le Consentement" de Vanessa Springora l'an dernier avait fait ressortir la tribune rédigée par Matzneff lui-même défendant la possibilité d'entretenir une relation amoureuse et sexuelle avec des enfants. 

Publiée le 26 janvier 1977 dans "L'im Monde", cette pétition avait à l'époque été signée par Bernard Kouchner, le père de Camille Kouchner et de son jumeau, donc le propre père de la victime d'Olivier Duhamel. Quelque 69 intellectuels français ont signé aux côtés de l'écrivain Matzneff et du romancier homosexuel Guy Hocquenghem , comme le rappelle France Cul.

Parmi lesquels Simone de Beauvoir, Jean-Paul Sartre, Roland Barthes, Gilles et Fanny Deleuze, Francis Ponge, Philippe Sollers, Jack Lang, Bernard Kouchner, Louis Aragon, André Glucksmann, François Châtelet, Daniel Guérin, Pierre Guyotat, Françoise Laborie, Catherine Millet, Vincent Monteil,  Alain Cuny, entre autres vedettes du Tout-Pourri, soutenus par de nombreux psychiatres.Cette pétition a été publiée dans "L'im Monde" puis dans "ration" pour défendre trois hommes incarcérés depuis plus de trois ans pour avoir abusé sexuellement de mineurs de moins de 15 ans. 

Présidé par un violeur de petit(s) garçon(s)

 

D'UN PÉDOMANE L'AUTRE

Marie-France Pisier et Dany le rouge se sont rencontrés en mai 68, en plein pendant les événements. Leader de la contestation étudiante, il est alors en délicatesse avec les autorités françaises et doit quitter le pays. C’est là que sa route croise celle de Marie-France Pisier. « En Mai 68, j'avais été chargée de convoyer hors de France un "indésirable", raconte-t-elle dans Le Parisien en 2009. Comme j'avais une voiture de sport, on pensait que je n'attirerais pas les soupçons ». L’actrice ignore alors l’identité de son passager. « L'indésirable s'est donc installé dans ma voiture : quand j'ai reconnu Dany dans le rétroviseur, j'étais sidérée et ravie ! » ajoute-t-elle. Pour passer la frontière avec le Luxembourg, elle le cache dans le coffre dans sa voiture après lui avoir préalablement teint en noir sa fameuse crinière rousse. « On s'est bien amusés » conclut-elle. Marie-France Pisier et Daniel Cohn-Bendit sont tombés amoureux et ont ensuite passé plusieurs jours en Sardaigne. Leur aventure amoureuse n’a duré que quelques semaines mais les deux anciens amants ont gardé contact puisque Marie-France Pisier confiait qu’ils se téléphonaient et s’envoyaient régulièrement des SMS.

Oh Yeah

 👎👹

https://www.en-attendant-nadeau.fr/2020/12/30/trois-siecles-americanisation-tournes/

Roman épistolaire, 4 janvier 2021

 

https://www.amazon.fr/gp/product/1093259493/ref=dbs_a_def_rwt_hsch_vamf_taft_p1_i3

Axelle Raide ?

 

Non, Anne Silvestre dcd

2021 : les leçons de morale et d'orthographe continuent

 

1er janvier 2021, "Dutourd" par Gofman :

 

BONNE ? ANNÉE