Jeudi 1er juillet à 18h, devant les locaux de la radio de service public France-Inter : 2000 cocos, socialos, syndicalo-comiques viennent pleurnicher contre le licenciement des humoristes Stéphane Guillon et Didier Porte. Il faut dire que le vilain nain Sarkozy, par le truchement du traître à la cause socialiste Val, aurait fait pression sur l'honorable vieille dame de la radio publique pour dégager les deux comiques troupiers. Le fond du problème, en vérité, est d'ordre sémantique. On peut détester l'homme Sarkozy, certes, mais respecter un minimum le président de la République française. Dire sur les ondes publiques qu'on l'encule se nomme, en terme de droit, "Offense au Chef de l'Etat", et ça se paye cher au tribunal. Les deux clowns Guillon et Porte auront joué aux cons, et ils ont perdu, tant pis pour eux. J'ajoute que si certaines saillies de Porte déclenchaient le rire, la nullité crasse et la méchanceté gratuite de Guillon ne faisait rire plus grand-monde chez les auditeurs. Enfin, amis de toutes les droites, ne boutons pas notre plaisir, deux faux rebelles du PAF estampillés "je suis un homme de gauche puni par le fascisme rampant" ne viendront plus polluer les ondes du service public. Remarquez, avec la possible arrivée du socialisto-bobo Christophe Alévêque, cuistre gauchard pressenti pour remplacer les deux clowns virés, le pluralisme "Gauche-Droite" sur Inter, c'est toujours pas gagné. A la rédaction de l'Echo parisien, remarquez, on s'en fiche, on écoute que Radio Courtoisie et Ouie-Fm, la radio rock des moins de 20 ans...
Cyril Bozonnet
Nous espérons qu'il n'y a pas un mg de rapp sur ouie-Fm.
RépondreSupprimerAlors, y en a t-il ? Merci de me répondre.