…pour visser le cercueil de Hessel : "Il va sans dire que nous étions effarés par le succès de son fascicule d'une indigente indignation", déclare Richard Prasquier. Pour le président du Crif, "la mise au pavois de Stéphane Hessel, malgré ses accommodements avec la vérité historique et sa faiblesse argumentative, en dit beaucoup sur le désarroi intellectuel de notre société et sur le rôle aberrant qu'y joue le marketing des individus qu'on transforme à bas prix en luminaires idéologiques". "Stéphane Hessel fut avant tout un maître à ne pas penser", tranche Richard Prasquier (pour lepoint.fr avec AFP). Lire aussi : "À Médrano plutôt qu'au Panthéon".
Eh eh ! une note dissonante inattendue.
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