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mardi 28 juillet 2015

Zoé Reyners de "Voici" à Wikileaks

J'ai connu… disons approché cette greluche (à gauche sur la photo, née en 1986) en qualité de barmaid, rue Claude-Bernard (Paris 5), en 2008-09 (2010 ?). Je lui commandais généralement "Une pinte sans sarcasmes, svp." Elle pouvait en effet se foutre du monde entier, alors à l'apogée d'une beauté exceptionnelle (tandis que son pantalon déjà la boudine, sur cette photo de 2013). Et nous étions souvent tout une brochette d'idiots, pitonnés au bar, bouche bée, la contemplant et nous saoulant pour l'oublier…
Elle est partie. New York. Tbilissi (Géorgie). Washington DC. Le harem névrotique du fils à papa N. Bedos. Aujourd'hui elle a sa société de "communication" rue des Écoles (Paris 5), associée à un Géorgien.
On suppute la nature de cette "communication", lorsque Wikileaks publie des extraits de sa correspondance avec Stratfor (Strategic Forecasting, inc.), officine US d'espionnage, pardon, renseignement.
"Ô Lolita, et moi qui t'offrais mon génie !" Du moins un restaurant russe, au bas de ce poème alcoolisé que tu m'as arraché des mains –"C'est pour moi ?" –,  avant de me répondre de l'autre bout du bar, d'un sec mouvement négatif de l'index… Tu en avais tant, des rateaux royaux à distribuer !
Patrick Gofman, 27 juillet 2015

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