mardi 27 juillet 2010
lundi 26 juillet 2010
Hommage
Chacun peut en faire l'expérience: déclarez que vous êtes « lepéniste » au cours d'un dîner, même le plus super réac des bois, et observez avec attention la gueule des convives. Tout à coup, on n'est plus entre gens de bonnes familles en appelant à Pascal et De Maistre pour pleurnicher – avec humour, détachement et finesse - sur le monde tel qu'il ne va pas: un putain de chauffeur de taxi s'est invité à la fête!
Tout le reste... national-catholique, royco, gibelin, archéo-futuriste, néo-droitier, libéral-conservateur, bonapartiste, national-républicain, légitimiste évolien, tradi-nietzschéen, futuriste orthodoxe, situationniste nazi, pinocheto-reaganien, révolutionnaire conservateur, chrétien solaire, pagano-partouzard, anti-moderne déconstructiviste .. ca peut se discuter, c'est « intéressant », « troublant », « intriguant », « littéraire », « artiste »...
Mais « lepéniste » ça pue la sueur, le Pas-de-calais, la fête à neuneu, les vieux médaillés qui sentent le pipi, l'ex-coco à front bas, le comptoir de PMU, l'humilié du RER et le licencié de chez Renault, bref ce « populo » qu'on aime surtout dans les films de genre de Duvivier.
Pas vraiment l'anticonformisme glamour et délicieusement cultivé qui va permettre de choper. Vraiment pas de quoi faire mouiller la sorbonnarde qui voit dans Sophocle la dernier rempart de l'Europe ni la catho-coquine qui « aiment les arabes car ils sont ses frères en Christ » mais à condition qu'ils ne l'approchent pas trop aux Planches ou au Carré.
« Lepéniste », c'est même, je dois l'avouer, nettement plus stigmatisant que « fasciste « , car, d'une part, « fasciste » personne ne sait – en France- exactement ce que cela veut dire et que, d'autre part, on attribue aisément à cette « déviance » une complaisante étiquette « romantico-cinglée ».
Alors si le grand jeu est de se mesurer la bite à l'aune du « rebelle » qui « prend des risques », les « lepénistes » ont une très nette longueur d'avance.
Bien sûr, ca ne le rend pas plus intelligents, ni ne valide leur « idées » (pour autant qu'ils en aient) mais, à l'heure actuelle, c'est toujours ça de pris.
Eisangélie Hamond
dimanche 25 juillet 2010
Cette prostitution qui étouffe la Goutte d'Or
Laibach
Only one day is left
Only one day
We are leaving the others
We're going away
Today we all steal
Animals we are
Possession is lost
Our souls are from the wild
And wings to reach the sky
Let the sun fall into the ocean,
Let the earth erupt in flame
It is enough to have the strength
And knowledge
To raise our dream machines
Into the sky
Let them sleep who do not know
The final day is here
The very last
And we leave at dawn
Millions of machines on nitroglycerin
Thunder in us
There is no force no money and no power
To stop us now and change our fate
Before we rise
Now every problem is destroyed
We raise our hands and bodies to the peak
Into the Universe - towards the stars we go
Sending machines up to the sky
[Chorus]
Machines we are sending to the skies
Above us all
And leave behind those who don't know
Of the final day
We leave in sleep those who don't know
(and) we leave at dawn
We are driven by the B-machine
(Wild B-machine - that never stops)
Merci au Lutecia dandy club...
vendredi 23 juillet 2010
Mort pour la France
Obsèques de l'adjudant Laurent MOSIC
envoyé par armeedeterre. - Regardez les dernières vidéos d'actu.
Ce militaire était un militant actif du Front National, selon le parti de Jean-Marie Le Pen
jeudi 22 juillet 2010
Marie est morte, à cause d’un pétard de 14 juillet
Marie, la femme de 63 ans gravement brûlée le 14 juillet par un engin d'artifice dans son appartement parisien, est morte des suites de ses blessures, a annoncé mercredi dernier le parquet de Paris. Dans la nuit du 14 au 15 juillet, cette résidente d'un appartement du XXe arrondissement avait été grièvement blessée par un pétard jeté depuis la rue sur son balcon à l'aide d'un mortier.
Que dire de plus ? Qu’elle était aimée de tous dans son immeuble, dans sa rue, dans son quartier ? Que la petite racaille qui trouvait amusant de balancer des pétards va s’en sortir, du haut de ses 16 ans, avec trois fois rien comme condamnation, dans quelques mois ? Que les pouvoirs publics se couvriront encore en annonçant la énième interdiction à la vente de ses engins pétaradants pouvant tuer…et toujours en vente dans des centaines de magasins Indo-pakistanais sur Paris. Et que, vu le mépris affiché envers nos lois par les « djeun’s » et les commerçants du grand Nord-Est parisien, il y aura certainement une autre Marie assassinée par connerie pure durant la prochaine fête nationale.
Cyril Bozonnet
dimanche 11 juillet 2010
Haut les drapeaux !
La moitié de la salle de rédaction de L'Echo parisien étant partie en vacances, pendant deux semaines, nous publierons au ralenti...Patrick, on compte sur toi !
samedi 10 juillet 2010
Tremblez, les Bleus !
Paul, poulpe germanique du CGB
vendredi 9 juillet 2010
Thierry Mariani à la manoeuvre
jeudi 8 juillet 2010
Gollnisch répond
"L'Echo parisien" a publié l'essentiel des déclarations des Le Pen contre le N° 2 du FN, Bruno Gollnisch, in "France-Soir" (30/6). Nous devons donc signaler que Bruno a répliqué dans une conférence de presse visible sur
Morale de Morales
Carlos, la vérité
Insécurité tout azimut, dans le nord de Paris
Un papier de "l'Express" sur Marine Le Pen
Marine Le Pen affole la droite
Le secrétaire d'Etat aux PME, Hervé Novelli, était déjà préoccupé avant. Avant que le climat pourri n'envahisse la scène politique, que le gouvernement ne se délite. Dans une note, puis au cours d'un tête-à-tête avec Nicolas Sarkozy, après les régionales, il avait pointé le danger que représente Marine Le Pen : « Elle s'est opposée à son père à chaque outrance, elle a une force de pénétration dans notre électorat impressionnante. »
Aujourd'hui, ses craintes redoublent. La droite s'inquiète, la droite s'affole. De la polémique déclenchée, au début d'avril, autour du compagnon de la conductrice verbalisée pour avoir porté un niqab au volant, à Nantes, à l'émotion suscitée par le drame d'un homme battu à mort au bord d'une autoroute dans les Yvelines, le 26 juin, en passant, donc, par les affaires, elle constate à quel point les questions d'identité, d'immigration, de sécurité et de morale rejaillissent dans l'opinion. Avec toutes les conséquences politiques qui peuvent en découler.
« Marine Le Pen apparaît comme une mère de famille, pas comme une extrémiste, elle réussit sur des thèmes populaires, donc elle peut faire mal », remarque le secrétaire d'Etat à l'Intérieur, Alain Marleix - argument qu'un député UMP résume d'une formule : « On n'imagine pas une mère mettre les gens dans un train... » « Elle constitue un vrai danger, ajoute le ministre de l’Agriculture, Bruno Le Maire. J'ai reçu des maires d'un canton qui a voté pour le Front national à 20 %, les électeurs recommenceront d'autant plus facilement que Marine Le Pen est une bonne candidate. » « Elle est plus adroite que son père, elle ne fera pas les mêmes dérapages que lui », complète la garde des Sceaux, Michèle Alliot-Marie.
Entre le père et la fille, ce n'est certes pas l'idéologie qui fait forcément la différence. Eric Woerth a reçu les deux ensemble, lors de ses consultations sur la réforme des retraites. « Ils sont pareils, sauf qu'elle a les mots de sa génération et la vivacité de son âge » raconte le ministre du Travail. Une nuance qui trouble tout de même la base UMP. Secrétaire national du parti présidentiel chargé des fédérations, Edouard Courtial a été frappé par le nombre de militants sarkozystes qui lui parlaient d'elle : « Quand allez-vous travailler avec Marine ? »Convaincu que le vrai danger, lors de l'élection présidentielle de 2012, se situe plus à l'extrême droite qu'au centre, Thierry Mariani, député du Vaucluse, confirme l'ampleur du problème : « De plus en plus de sympathisants me font remarquer qu'elle n'est ni raciste ni antisémite, qu'elle n'a jamais été condamnée, qu'elle exprime tout haut ce que les deux tiers de nos adhérents pensent tout bas et, surtout, qu'elle dit ce que disait le RPR il y a quinze ans ! » Du coup, il vient d'annoncer la création d'un club, Droite populaire.
Le doute gagne aussi certains petits élus. Un maire divers droite d'un village rural de Normandie, dans lequel le FN a atteint les 30 % aux régionales de mars, l'avance sans détour : une fois Jean-Marie Le Pen parti, il faudra « réconcilier les droites » : « Les socialistes l'ont bien fait avec le PC, pourquoi pas nous ? » Les états-majors parisiens de la majorité présidentielle se montrent certains de résister demain à toute tentation d'alliance avec un FN sous présidence Marine - ce qui ne fut pas toujours le cas dans le passé. Pour Patrick Devedjian, ministre de la Relance, « Marine Le Pen ne pourra pas s'associer à la droite : celle-ci n'en voudra jamais car elle s'appelle Le Pen. Son nom est son avantage et sa limite. » Le sénateur maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, se montre plus prudent : « Personne n'osera toucher à la règle de non-alliance tant que Jacques Chirac sera vivant. »
La vice-présidente du Front se délecte de gêner ainsi la majorité. « Aux régionales, c'est dans les cantons où l'on avait perdu le plus de voix au profit de Nicolas Sarkozy, en 2007, que l'on a le plus remonté », se réjouit- elle, en relevant aussi la percée du FN auprès des personnes âgées, « colonisées jusque-là par I'UMP », et au sein d'un certain électorat « bourgeois » (professions libérales, artisans, commerçants), qui avait assuré son succès dans les années 1980. Pour la première fois depuis cette époque, son meilleur score à Paris s'est situé dans le XVIème arrondissement. Au Touquet, station chic du Pas-de-Calais, la liste de Marine Le Pen égale le score de son père au premier tour de la fameuse présidentielle de 2002. « L'électorat du FN reste dans l'attente, nuance Pascal Perrineau, directeur du Centre de recherches politiques de Sciences po (Cevipof). Quand Nicolas Sarkozy lancera sa campagne, beaucoup vont se repositionner. »
Pour l'heure, Marine Le Pen, qui espère, à terme, couper le cordon sanitaire autour du FN, travaille sa respectabilité : « Depuis huit ans, je donne de nous, auprès des sympathisants UMP, l'image d'un parti normal. » Elle est persuadée d'avoir marqué des points durables dans cet électorat de droite - « en proie au doute » - en lançant la polémique sur le livre de Frédéric Mitterrand à l'automne dernier et souligne qu'en « nommant des bobos de gauche partout, Sarkozy a violé sa promesse de rompre avec l'esprit de Mai 68, qui était un axe fort de la présidentielle - pour les gens de droite, ces personnalités sont des antivaleurs ». Une analyse qu'elle a transformée en argument électoral durant les régionales.
Dans la perspective de 2012, la prétendante à la succession de Jean-Marie Le Pen (elle sera opposée à Bruno Gollnisch ; les candidatures sont officielles depuis le 1er juillet) a déjà commencé à roder des thèmes de campagne auxquels une partie de la majorité est naturellement sensible : régulation de l'immigration, lutte contre le mondialisme, attachement à la tradition, fermeté contre l'insécurité, moralisation de la vie politique. Elle veut donc séduire, mais sans se laisser embrasser. « Je ne rentrerai pas dans un gouvernement UMP, car il réalise tout ce que je combats », affirme-t-elle, sûre de peser plus avec un FN à 15 ou 18 % qu'avec deux portefeuilles ministériels. Et de souligner une vraie différence, à ses yeux, avec les responsables de droite : « Moi, je n'éprouve pas de fascination pour le pouvoir. »
Eric Mandonnet et Romain Rosso
mercredi 7 juillet 2010
Braquage de banque...Au bulldozer
Sans commentaire
"J'ai envie de les étrangler !"
mardi 6 juillet 2010
"Ring", web magazine pour jeunes gens de droite chics et branchés
Le FN s'enracine dans les Yvelines
Le candidat frontiste a doublé son score en un an, passant de 913 à 2004 votants
Les 13 bandes de Belleville et le préfet de Paris
Monsieur le Préfet peut mieux faire, sur Belleville !
L'absentéisme de Christine Lagarde énerve tout le monde
lundi 5 juillet 2010
Les Le Pen attaquent Gollnisch
Jean-Marie : "Le problème de Gollnisch, c'est que ses amis sont extérieurs au Front, parce qu'ils l'ont quitté : Pierre Carl Lang, Bernard Antony, Jacques Bompard. Bruno veut organiser, comme il dit, le retour au bercail de toute l'extrême droite. Et puis il y a son ami Pierre Sidos..."
Marine : "Moi, je n'entends, ni aujourd'hui ni demain, m'allier à l'UMP. En revanche, Bruno est beaucoup moins clair sur ce sujet. C'est un fait : ceux qui soutenaient Gollnisch et ont quitté le FN sont tous allés se vendre à l'UMP."
propos recopiés par
Patrick Gofman