“Noël ! Noël ! J’entends les cloches dans la nuit…
Et j’ai, sur ces feuillets sans foi, posé ma plume :
Ô souvenirs, chantez ! Tout mon orgueil s’enfuit,
Et je me sens repris de ma grande amertume.
Ah ! Ces voix dans la nuit chantant Noël ! Noël !
M’apportent de la nef qui, là-bas, s’illumine,
Un si tendre, un si doux reproche maternel
Que mon cœur trop gonflé crève dans ma poitrine…
Et j’écoute longtemps les cloches, dans la nuit…
Je suis le paria de la famille humaine,
A qui le vent apporte en son sale réduit
La poignante rumeur d’une fête lointaine.”
Et j’ai, sur ces feuillets sans foi, posé ma plume :
Ô souvenirs, chantez ! Tout mon orgueil s’enfuit,
Et je me sens repris de ma grande amertume.
Ah ! Ces voix dans la nuit chantant Noël ! Noël !
M’apportent de la nef qui, là-bas, s’illumine,
Un si tendre, un si doux reproche maternel
Que mon cœur trop gonflé crève dans ma poitrine…
Et j’écoute longtemps les cloches, dans la nuit…
Je suis le paria de la famille humaine,
A qui le vent apporte en son sale réduit
La poignante rumeur d’une fête lointaine.”
Magnifique ! d'autant plus splendide et poignant que...
RépondreSupprimerJoyeux Noël sous la protection de ste Jeanne d'Arc et des Anges célestes !
Sursum corda !