lundi 30 septembre 2013
dimanche 29 septembre 2013
Foot pourri : les esclavagistes* qataris ont oublié…
…de graisser la patte de metronews.fr (28/9), qui commente, impitoyable : "Saïd Enjimi, l’arbitre du match, va […] conclure le score en offrant un penalty aux Parisiens pour une faute que lui seul a vu. Cavani transforme et le match est plié (2-0, 80e). L’arbitre de la partie va d’ailleurs faire reparler de lui en refusant un but de Ben Yedder à la 93e minute, pour un hors-jeu totalement fantaisiste."
* Le 26/9, The Guardian accuse le Qatar d'exploiter des travailleurs immigrés dans la construction des stades pour la Coupe du monde 2022 (qu'il est soupçonné d'avoir achetée à des corrompus de la FIFA). Selon le quotidien britannique, 44 personnes, principalement népalaises, seraient mortes entre le 4 juin et le 8 août sur les différents chantiers.
* Le 26/9, The Guardian accuse le Qatar d'exploiter des travailleurs immigrés dans la construction des stades pour la Coupe du monde 2022 (qu'il est soupçonné d'avoir achetée à des corrompus de la FIFA). Selon le quotidien britannique, 44 personnes, principalement népalaises, seraient mortes entre le 4 juin et le 8 août sur les différents chantiers.
samedi 28 septembre 2013
vendredi 27 septembre 2013
8 syndicats pour 8 % des salariés
Financés à 90 %
par l'État et le patronat.
Désertés par 92 % des travailleurs.
"Trahison des élites syndicales"
le 31 oct. 2010 à la web-radio
Méridien Zéro : CLIC.
jeudi 26 septembre 2013
mercredi 25 septembre 2013
mardi 24 septembre 2013
"Jusqu'ici tout va bien" (France 2) :
382 000 téléspectateurs, soit 3.1 % de PDM le 23/9 ! 350 000 téléspectateurs, soit 2.9 % le 24 ! 345 000 le 26… |
elle triomphe : "Jusqu'ici, tout va bien." Histoire à moitié drôle, car
le flop de l'insulteuse maghrébine des électeurs FN contamine déjà les émissions voisines, JT en tête, et déjà des annonceurs foutent le camp. + sur Europe1 (23/9). P. G.
lundi 23 septembre 2013
Marion à la télé
dimanche 22 septembre 2013
L'Amérique larmoie sur "Le Majordome" au cinéma, mais dans la réalité…
…le trust US Hyatt exploite férocement ses femmes de chambre noires
LE PALACE "Park Hyatt Paris
Vendôme" (rue de la Paix, Paris IIe) demande 950 à 16 000 € la nuitée à chacun de ses
clients. Les salaires de ses employés ne sont pas en proportion. Leur mode de
vie, encore moins : doubles journées non payées 6 ou 7 jours d'affilée,
caméras dans tous les coins…
Ce régime, c'est celui, "privilégié",
des 225 employés permanents. C'est bien plus dur pour les 40 femmes de chambre
intérimaires : 20 minutes chronométrées pour nettoyer une porcherie,
seule (alors que l'usage est de travailler à deux, ne serait-ce que pour
décourager les DSK).
Il n'y a donc guère que
"L'Humanité" (20/9) pour être « surprise »
par la révolte des esclaves du trust US Hyatt. Révolte d'autant moins
surprenante qu'elle ravageait, pas plus loin que le mois dernier, "Hyatt
Montréal" au Canada, et, l'an dernier, à Paris, le Crillon saoudien comme
le Ritz de Mohamed Al Fayed !
Plutôt que surprise, la direction de
Hyatt Paris préfère la jouer hypocrite. Aux femmes de chambre qui revendiquent
leur titularisation, elle lance : «
Park Hyatt Paris Vendôme n'est aucunement partie prenante au conflit en cours
entre le prestataire [France Services] et
ses salariés » !
Attention ! répondent les
exploitées : ceci n'est qu'une grève d'avertissement. Car le 23 septembre
s'ouvre la "Fashion Week",
au gros chiffre d'affaires pour l'hôtellerie parisienne. Et déjà quelques
employés titulaires nous rejoignent…
« La lutte des classes, c'est ici », proclamait vendredi (20/9) une pancarte agitée dans un défilé
bruyant et coloré, au beau milieu du quartier du luxe. "Le mort saisit le
vif" et le marxisme le plus orthodoxe pond ses œufs dans la charogne
anarcho-libérale.
Patrick Gofman
samedi 21 septembre 2013
Bienvenue au ghetto !
Les maîtres censeurs persécutent l'animateur du "Bébête Show" (TF1, années 80) : il a eu le malheur d'apporter son soutien au FN. Spectacle saboté, injures du ringard Guy Bedos. Histrions, saltimbanques et jocrisses chantaient sous l'Occupation ? Eh bien, ils continuent. P. G.
vendredi 20 septembre 2013
Conférence du Pr Martinez aux "Ronchons"
Photo Gofman/"Écho parisien". |
jeudi 19 septembre 2013
Frances Farmer, centenaire aujourd'hui
IL ÉTAIT UNE FOIS, dans la pluvieuse Seattle (Etat de
Washington, côte Nord-Ouest des Etats-Unis), une vilaine fille, Frances “The Bad Girl of West Seattle” Farmer,
née en 1913, et qui se proclamait athée, à 18 ans, dans l’Amérique bigote des
années 30 ! Gagnant ainsi un concours de littérature !
Imaginez le nombre d’amis qu’elle a déjà lorsque,
quelques années plus tard, en 1935, étudiante en art dramatique, elle remporte
un autre concours et gagne un voyage en Russie communiste, ce qui lui vaut automatiquement
le grief de bolchévisme… Au retour, elle s’arrête à New York. Quelques semaines
plus tard, elle signe pour sept ans avec les studios Paramount et refait sa
valise ; pour la Californie ; Hollywood. “La vilaine fille” a 22 ans.
Et c’est une radieuse beauté :
Elle remplit d’abord de
son mieux son contrat avec “l’usine à rêves”, posant pour des publicités ineptes, épousant un cowboy de cinéma, et
surveillant étroitement son poids de corps. Là sans doute est l’égratignure où
va s’installer la gangrène. Car les médecins d’avant-guerre distribuent les
amphétamines comme des bonbons aux femmes qui veulent maigrir ; sans se
soucier des effets secondaires, qui peuvent, selon les individus, s’avérer
de graves troubles du comportement, comme ceux, précisément, que va connaître
la belle Frances, avec la catalyse de l’alcool et du chagrin…
Mais d’abord elle triomphe à l’écran. Avec la “super-star” Bing Crosby. Puis sous la
direction de Howard Hawks, qui en dit :
« C’est la plus grande actrice avec laquelle j’aie jamais
travaillé. » Elle commence alors à ruer dans les brancards, snobant
les mondanités de Hollywood et négligeant son rôle de “glamour girl”. En 1937, elle tient à faire ses preuves sur scène.
Elle joue “Golden Boy” à Broadway (New York), noue une liaison passionnée avec
l’auteur de la pièce, qui n’est pas moins marié qu’elle et qui rompt. La voici
de retour en Californie avec un cœur brisé et des rôles contractuels peu
valorisants.
En 1942, les choses tournent vraiment mal. Frances est
en instance de divorce, enfoncée dans les amphétamines et la saoulographie,
autre sport très répandu à l’époque. Mais il lui réussit moins qu’à d’autres.
Son humeur se dégrade. Le 19 octobre 1942, elle conduit pleins phares dans une
zone où l’Amérique redoute un débarquement japonais (Spielberg l’a montré dans
un film tordant, “1942”, assez mal reçu dans son pays). Elle se prend de bec
avec le motard de police qui lui fait des observations. Arrestation, amende,
prison avec sursis. Trois mois plus tard, elle frappe une coiffeuse des
studios. Arrestation mouvementée à son hôtel. Au flic qui ose lui demander sa
profession, elle répond : « Cocksucker. »
Un juge l’envoie dans un sanatorium pour acteurs en souffrance.
La mère divorcée de Frances vient la chercher et
obtient sa garde. A Seattle, les deux femmes finissent par en venir aux mains,
et l’actrice atterrit au Western State
Hospital. Elle y moisit jusqu’en 1950 ! La légende veut qu’elle y
connaisse un véritable martyre : supplice de la baignoire glacée, viols
répétés, promiscuité avec des criminels, nourriture jetée en vrac sur le sol
malpropre d’une cellule collective, lobotomie qui en fait un légume. Le
personnel de cet hôpital certainement mal tenu nie. Le biographe William Arnold
pousse les choses au noir, mais il est suspect de militer contre la psychiatrie
officielle avec la Scientologie. Une autre biographe, Jean Ratcliffe, avoue
avoir exagéré… Le film “Frances” (1982) en rajoute… Ce qui est hors de doute,
c’est que la douche glacée, les chocs électriques et insuliniques sont
pratiques courantes à l’époque.
Libérée le 23 mars 1950, l’actrice brisée devient
d’abord blanchisseuse à Seattle, puis secrétaire d’un photographe d’Eureka
(Californie) et ensuite dans un hôtel de San Francisco. Elle se remarie
brièvement en 1954 puis 1958.
C’est alors que les télévisions nationales l’invitent
pour l’asticoter au sujet de son alcoolisme et de ses problèmes de
comportement. C’est peut-être ce qui lui inspire l’idée de devenir animatrice
du petit écran. “Frances Farmer Presents”
fait les beaux jours (six fois par semaine) des cinéphiles d’Indianapolis de
1958 à 1964.
L’athée provocante de 1931 a fini ses jours dans la
religion catholique. Mais elle n’a jamais renoncé à la vodka, à la bière ni aux
cigarettes Kent, et elle meurt d’un cancer de l’œsophage en 1970. Elle a 56
ans. Sa beauté, son caractère, son talent, ses souffrances ne peuvent être
oubliés. Son poème “The Journey” demeure.
mercredi 18 septembre 2013
Abolition de la prostitution ?!
Un quarteron de dames patronesses PS de la Chambre des Putes nous ressert le projet absurde de la grosse UMP Bachelot, en 2011 : répression des clients (1 500 € d'amende puis 6 mois de prison !).
Je leur ressers donc la riposte de † Me Vergès et moi-même
sur France 3, le 14 avril 2011 :
Je leur ressers donc la riposte de † Me Vergès et moi-même
sur France 3, le 14 avril 2011 :
mardi 17 septembre 2013
lundi 16 septembre 2013
dimanche 15 septembre 2013
"Antifascistes" ou auxiliaires de police ?
14 septembre : la préfecture de police interdit 3 manifestations patriotiques : Collectif pour les Libertés, Riposte laïque, et SOS tout-petits. Le prétexte ? La puissante riposte annoncée des héros "antifascistes". L'affaire Méric a pourtant montré qu'ils ne font pas le poids, même à 3 contre 1. En l'absence de "fascisme" à briser, les héros mettent le bazar dans un… bistro du 15e. Neuf sont interpellés. Ainsi (presque) personne n'ira penser qu'ils ne sont que des sous-flics. Subtile, la dictature socialope en charentaises ! P. Gofman
PS : ce soir, ENCORE Porcinet à la télé. Et encore un flop assuré.
PS : ce soir, ENCORE Porcinet à la télé. Et encore un flop assuré.
samedi 14 septembre 2013
vendredi 13 septembre 2013
jeudi 12 septembre 2013
mercredi 11 septembre 2013
Alain Sanders dégomme un film US !
…et pendant qu'il y est, "tout ce que l'Amérique et le cinéma hollywoodien ont de plus insupportable, de plus détestable, à savoir : vulgarité, tape à l'œil et bêtise crasse." Bravo, Alain !
La daube (ci-contre à gauche) en question sort en France ce 11/9. Mais Sanders, sous le pseudo transparent de "Pierre Malpouge", l'a exécutée dès le 5/9, dans le quotidien "Présent".
La daube (ci-contre à gauche) en question sort en France ce 11/9. Mais Sanders, sous le pseudo transparent de "Pierre Malpouge", l'a exécutée dès le 5/9, dans le quotidien "Présent".
mardi 10 septembre 2013
Le fils de Marisol Touraine en prison
Ministre de… la Santé ! |
…pour avoir "braqué" et dévalisé une vieille dame à Paris 13e, révèle "Le Parisien" à 7 h ce matin. Maman est pourtant imposée sur la fortune ! Mettra-t-on Thomas Fabius dans la même cellule de la Santé ? Ou Taubira les fera-t-elle libérer, avec son propre voyou de fils ?
† DOMINIQUE VENNER ?
Je viens de lire ce "tombeau" de Venner, bâti par 15 témoins réunis par "Les bouquins de Synthèse nationale". Certains le connaissaient depuis les années 1950. Et ils décrivent brillamment les trois vies de Venner : soldat d'active, militant politique, historien. Commander ICI. P.G.
lundi 9 septembre 2013
dimanche 8 septembre 2013
samedi 7 septembre 2013
НАШ ДОМ
Samedi 7 Septembre à 17h à la Librairie "L'Age d'Homme",
5, rue Férou, 75006 Paris
du dernier volume de la collection
5, rue Férou, 75006 Paris
LES ÉDITIONS L’ÂGE D’HOMME
ont le plaisir de vous inviter à la présentationdu dernier volume de la collection
« Grands spirituels orthodoxes du XXe siècle » :
Saint Justin Popović
"VIES DES SAINTS SERBES"
NB : énorme faute dans le titre, ci-dessus à gauche.
P.G., correcteur de métier et… ancien commercial de L'Age d'Homme.
P.G., correcteur de métier et… ancien commercial de L'Age d'Homme.
vendredi 6 septembre 2013
jeudi 5 septembre 2013
Échecs non violents
Dans cette position désespérée pour les noirs que je joue PMV (Vonk Fauteur de Paix) m'offre la nulle. J'accepte lâchement, et nous perdons chacun un point de cote, au lieu qu'il m'en prenne 11 ou 12. Le pacifisme de cet Équatorien me semble pervers. Car il abaisse artificiellement son classement, ce qui lui permet de jouer des adversaires très inférieurs et de leur mettre des volées humiliantes, aggravées parfois de ses charités. Mais il doit bien parfois les achever, sinon sa cote tomberait à zéro. P. G.
mercredi 4 septembre 2013
La vraie vie de Violette Morris
ENCORE une idole
féministe dont le culte est d’une discrétion excessive. Quelle injustice !
Pourtant la modeste Violette (1893-1944) fut d’abord une héroïne de la guerre
de 14, ambulancière sur la Somme puis estafette à Verdun.
Ensuite elle a été
pionnière du sport féminin. Meilleure mondiale au lancer du poids pendant des
années, elle s’est également distinguée au disque, au javelot, football, course
automobile, cyclisme, motocyclisme, natation, tennis, water polo, boxe,
équitation, aviation, tir à l’arc, plongeon de haut vol, haltérophilie, lutte
gréco-romaine…
À droite |
Evidemment, les
institutions patriarcales la persécutent. On lui sucre sa licence à la veille
des jeux Olympiques de 1928, sous prétexte d’atteinte aux bonnes mœurs. Elle
riposte par un procès contre la Fédération française sportive féminine, qui
interdisait le port du pantalon à ses affiliées. Le tribunal sexiste la déboute
et la condamne aux dépens, en invoquant la célèbre ordonnance du 16 brumaire an
IX (toujours valide, en principe, au moment où j’écris – août 2011 – malgré les
grincements de dents des Khmers verts).
Violette Morris en
conçoit une profonde amertume, qui explique peut-être en partie qu’invitée
d’honneur aux J.O. de Berlin, en 1936, elle y accepte de devenir une espionne
nazie rétribuée.
Elle aggrave son
cas lorsque l’Allemagne nationale-socialiste occupe la France. Elle rejoint les
truands qu’elle fréquentait de longue date dans la “Carlingue”, la Gestapo
française, et s’y livre à des atrocités, se spécialisant dans la torture des
femmes. Mais c’est son activité de contre-espionnage en Normandie qui attire
l’attention de l’Intelligence Service
et du BCRA (service secret de la France libre à Londres), qui la condamnent à
mort.
Le 26 avril 1944,
huit mitrailleurs du maquis arrosent sa Traction. Elle bondit au-dehors,
pistolet au poing, achevée immédiatement.
En 2011, un livre
de Marie-Jo Bonnet conteste ceux de Raymond Ruffin et Jean-Emile Néaumet, sur
les points les plus noirs du pedigree de Violette. Ah ! Nos amies
féministes pourront bientôt récupérer une idole particulièrement
décorative !
Extrait du "Dictionnaire des Emmerdeuses" de Patrick Gofman,
Grancher éd., mai 2012. 15,20 € @ amazon
mardi 3 septembre 2013
La gestapiste "Violette Morris au Panthéon" !
… et "au titre de la Résistance"
(qui l'a flinguée le 26 avril 1944
– détails dans mon "Dictionnaire
des Emmerdeuses") !
C'est la brillante suggestion de
la féministe professionnelle,
et licenciée en Histoire, Caroline de Haas, sur Europe1 le 2/9/13 à 06 h 11. P. G.
http://pantheon-consultation.monuments-nationaux.fr/quizz
(qui l'a flinguée le 26 avril 1944
– détails dans mon "Dictionnaire
des Emmerdeuses") !
C'est la brillante suggestion de
la féministe professionnelle,
et licenciée en Histoire, Caroline de Haas, sur Europe1 le 2/9/13 à 06 h 11. P. G.
http://pantheon-consultation.monuments-nationaux.fr/quizz
lundi 2 septembre 2013
6 foot 2
"Elle a passé l'été à la recherche d'un 6 foot 2".
1,88 m, ma taille au cm près !
Et ensuite ? "Dur comme le roc". Ah…
dimanche 1 septembre 2013
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