Vous me permettrez de me fier, plutôt qu'à un inconnu anonyme, au Dictionnaire de l'Académie française, ainsi qu'au divin Christophe : "Émue et toujours irritée, madame Fenouillard interpelle son époux : « Tigre altéré de sang ! que vont devenir ces deux innocents privés de l'aile maternelle ? — Nous les prenons sous la nôtre ! » déclarent ces demoiselles."
Vous me permettrez de me fier, plutôt qu'à un inconnu anonyme, au Dictionnaire de l'Académie française, ainsi qu'au divin Christophe : "Émue et toujours irritée, madame Fenouillard interpelle son époux : « Tigre altéré de sang ! que vont devenir ces deux innocents privés de l'aile maternelle ? — Nous les prenons sous la nôtre ! » déclarent ces demoiselles."
RépondreSupprimerC'est sûr ! On dit altéré de... et assoiffé par, tout comme on dit se rappeler quelque chose et se souvenir DE quelque chose....
RépondreSupprimerc'est bien cela ?