Votre commentaire est percutant, Patrick. C'est vrai qu'avec ce genre de juge, nombreuses sont les victimes qui ont la sensation douloureuse, une douleur aussi réelle que celle de l'agression, d'être niées dans leur corps et leur âme souffrants, et donc dans leur humanité, une seconde fois. Quel manque d'empathie! Quelle perversité! C'est terrifiant. Et destructeur pour ces victimes. Cela me rappelle un livre écrit il y a déjà bien vingt ans, peut-être plus: "Pitié pour les victimes", dont l'auteur, Maud Marin je crois, avait été invitée par Serge de Beketch dans son Libre journal du mercredi soir. Le livre de M.M. n'avait pas suscité un réveil de la conscience de ces juges indignes, mais une haine vengeresse: la dame fut, si mes souvenirs sont bons, virée du tribunal de Bobigny, ou perdit le droit d'exercer son métier d'avocat (détails à vérifier, je le ferai tout à l'heure).
Votre commentaire est percutant, Patrick. C'est vrai qu'avec ce genre de juge, nombreuses sont les victimes qui ont la sensation douloureuse, une douleur aussi réelle que celle de l'agression, d'être niées dans leur corps et leur âme souffrants, et donc dans leur humanité, une seconde fois. Quel manque d'empathie! Quelle perversité! C'est terrifiant. Et destructeur pour ces victimes. Cela me rappelle un livre écrit il y a déjà bien vingt ans, peut-être plus: "Pitié pour les victimes", dont l'auteur, Maud Marin je crois, avait été invitée par Serge de Beketch dans son Libre journal du mercredi soir. Le livre de M.M. n'avait pas suscité un réveil de la conscience de ces juges indignes, mais une haine vengeresse: la dame fut, si mes souvenirs sont bons, virée du tribunal de Bobigny, ou perdit le droit d'exercer son métier d'avocat (détails à vérifier, je le ferai tout à l'heure).
RépondreSupprimer