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lundi 16 juin 2014

Elsa Lepoivre 30 ans après

1981 : elle a 9 ans. Apprenant que je dessine pour le journal de son père, elle m'étrangle à demi pour m'obliger à lui dessiner je ne sais plus quoi. Le photographe est choqué ? Elle lui tire la langue. Moi ?
Je trouve que la tyrannie des petites filles est légitime. P. G.
2014 : elle est Phèdre à la Comédie-Française jusqu'au 15 juillet.

6 commentaires:

  1. Lolita, chère idole
    Si je dessine, c'est pour toi
    J'ai fleuri ma gondole
    Nid discret de nos émois...

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  2. Joli poeme qui sied à merveille a notre talentueux auteur-dessinateur...
    mais surement pas à cette chipie élégante ou cette charmante peste !
    Je suis un peu de sa generation et c'eût été moi, mon père m'aurait gratifiè d'un aller et retour...et il aurait eu bien raison.
    Mais cela ne m'étonne point ! J'ai souvenir qu'à l'école, j'ai connu bien des filles mal elevees...
    ,

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    1. Merci, mais ce n'est qu'une imitation de la chanson "Violetta". Chacun connaît l'admiration de P.G. pour Nabokov...

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    2. Oui, quand j'ai lu le prenom Lolita, j'ai tout de suite pensé que c'était d'inspiration nabokovienne, sachant en ayant lu "coeur de cuir", que PG l'appreciait énormément.
      Mais pourquoi ? Pour le style
      bien à vous deux

      Il faut que je le lise

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  3. Est-ce là mon Elsa ?
    Est-ce mon Guépéou ?

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