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mardi 17 juin 2014

Plutôt que Honduras-France, j'ai vu le film

…qui soulève un coin du tapis (magique) de Hollywood pour révéler un peu de la pourriture cachée dessous. Pas trop cachée tout de même :  il y a plus de cent ans que la pourriture est un produit d'appel de "l'usine  à rêves". Et vas-y donc : gosses drogués, hallucinations, incestes et meurtres de routine, vieille actrice dansant en apprenant la mort du petit garçon d'une rivale, et partout la folie orchestrée par un psy dément genre télévangéliste… Et cependant, je reste certain que des gens normales peuvent se trouver à Los Angeles, et de plus tarées que tout dans les pharmacies de Finlande ! P.G.

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