Née
Schwartz et Castelroussine en 1959. Publie des livres ennuyeux et confus dits
“d’autofiction”. Sans trop se fatiguer, puisque, signale aux pigeons
l’encyclopédie en ligne Wikipédia®, « la plupart de ses œuvres sont le produit d'un processus de
réécriture et de citations d'autres livres – emprunts explicites ou cachés au
lecteur. » Exempli gratia :
• “L’Inceste” présente de nombreuses
citations d’un sidéen décédé, Hervé Guibert, dès l’incipit.
• “Quitter la
ville” contient de nombreux emprunts (réécrits ou fidèles) aux “Œdipe” de Sophocle, ainsi
que des citations de “Cet amour-là” de Yann Andréa, dernier
compagnon de Marguerite
Duras. En outre, le texte est largement composé de citations
d'articles de presse, de chroniques et critiques littéraires.
• Angot avoue s'être servie des “Cahiers” de Vaslav Nijinski et du “Livre noir” élaboré par Ilya Ehrenbourg et Vassili Grossman (sur la Shoah), afin de rédiger
son ouvrage “Les Autres”.
• L'Usage
de la vie” est apparenté à “C'était
tout une vie” de François Bon.
• C’est le vrai prénom de sa fille
(dénonciation irresponsable) qui fait le titre de “Léonore, toujours”, où l'auteuse propose un
poème qu'elle aurait rédigé pour sa fille avant d'avouer, quelques pages plus
tard, l'avoir simplement recopié à partir d'un recueil.
Elle
recopie aussi la morale et les mœurs “antiracistes” de sa clientèle, la
petite-bourgeoisie urbaine et intellectuelle (abusivement dite “bobo,
bourgeoise bohême”). On l’a vue et entendue, à la télévision, hurler de toutes
ses forces, sans l’ombre d’un argument, comme une folle, à la figure d’Eric
Zemmour, qui prétendait que l’immigration africaine massive nuisait au niveau
scolaire.
Extrait de mon "Dictionnaire des Emmerdeuses", Grancher éd., 2012.
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