Exclusif : Breillat à Bréhat

http://www.europe1.fr/Faits-divers/Rocancourt-est-un-predateur-de-bas-etage-953569/

Rocancourt, Campbell, Breillat : lune de miel.

Condamné à 580 000 € de dommages et intérêts,
il déclare qu'il paiera "20 € par mois" !
Mais qui est sa victime, Catherine Breillat ?

 — Que faire quand on ne filme que de la pornographie tellement nase que même le public spécialisé (pourtant peu… regardant) n’en veut pas ?

— Ben, t’as qu’à dire que c’est du cinéma d’avant-garde…

— T’es dingue, ça marchera jamais !

Eh bien, non, ça ne marche pas. Les films de Breillat font un flop après l’autre. Comme ses “livres”. On comprend qu’elle en veuille à la France entière, et l’appelle « c’ crétin d’ pays » (France 2, le 15 septembre 2007). Ce que l’on comprend moins, dans ces conditions, c’est d’où elle a sorti les 600 000 (ou 850 000 ?) euros qu’elle accuse Christophe Rocancourt (escroc officiel, reçu à l’Elysée, édité, bientôt décoré ?) de lui avoir soutiré.

Breillat = Bréhat ? Mon honorable correspondant sur l’exquise île bretonne de Bréhat (Côtes-d’Armor), où la cinéaste possède une résidence, m’en souffle ces épouvantables ragots :

« Rocancourt est venu chez elle cet été, surveillé de loin par le policier municipal, pour qu’il n’aille pas fréquenter de futures victimes. Le fils de Breillat est un Schlumberger, cela doit aider pour faire du cinéma (vérifier les sociétés productrices) et surtout la pension alimentaire (pure supposition). Breillat avait l’habitude d’aller nager à “Ot ar Ouis”, en français “Baie de la Cochonne”. Puis elle a été effrayée par un phoque gris venu nager auprès d’elle, la grosse bête. Elle a surtout la réputation d’être sale, d’avoir une sœur droguée à donf qui se promène toute nue, mignonne du reste. On dit qu’elle voudrait vendre la maison qu’elle possède à Kervarabès, dernier quartier au nord de Bréhat, celui où vivaient les lépreux, qui avaient une chapelle (en ruines) dédiée à saint Riom, et un cimetière particulier, retourné à l’agriculture. Son AVC a été une bonne leçon pour les petits drogués de Bréhat, qui ont compris les conséquences, etc. Sa thèse cinématographique est simple : les acteurs ne font pas semblant de se serrer la main, pourquoi feraient-ils semblant de baiser (en Breillat dans le texte) ? »

Patrick Gofman