Doux coeur vaillant, belle âme encore cachée La haut sous les étoiles, qu'as tu à te reprocher Ne crains pas cette femme qui t'aime à en pleurer Qui pense à toi naïve , car elle t'aime à en prier.
Elle t'aime à lutter de toute son âme Contre ce mal qui ronge le monde Et pourtant, bel Apollon Plus beau que le David de Michel-Ange Si ton beau papillon, mon ange, Pouvait se nicher dans ma fleur... Mais ne parlons pas de malheur Car aux yeux de notre Créateur Ce serait une calamité ! Même si nous offrions un tout petit A celle que tu chéris tant La France !
Allons, redonne moi ta main, mon Amour ! Viens avec moi, supporter les peines de la vie, Offrir à Jésus les souffrances et les interdits Pour aller, quand l'heure viendra, au Ciel pour toujours !
Mon coeur est amaré en ce port royal, Mon âme veut t'entraîner au Ciel Mais mon corps restera lilial. En nous, coulera, si limpide, le doux miel D'un Amour que nul ne connaîtra sur terre !
Et notre alliance lactée, si blanche, Unissant nos joies, unissant nos âmes Qu'un sang martyr lavera peut-être pour notre douce France, Ô Amour de ma vie !
Le martyr de la chair n'est pas pour les grosses têtes... Elle n'est pas pour nous leur charnelle fête... Aimer n'est pas une partie de plaisir ! C'est un cadeau de Dieu pour aller en son Paradis. Mais c'est avec toi mon doux amour Que je veux chasser ce mal, Mon grand Amour ! Je ne peux pas seule. Si je crois, si j'ai la foi, Je suis plus faible que toi Quand tous deux nous serons Je serai forte pour toi Ô amour de ma vie !
Seul sur ta planète d'amour, Mon petit Prince, la nuit, le jour Tu contemple, ravi, la France et son soleil. Ô toi, mon ange, à ton réveil Sous les toits, parmi les étoiles Pendant que l'amour m'envahit Que penses-tu ? Qu'écris-tu ? Que contemples-tu?
Ton enveloppant souvenir Se répand à travers mon corps , mon coeur. Cette fleur fragile et sensible Que je ne peux t'offrir S'envole en secret spirituel Vers ton coeur, Ô mon bonheur ! Quand la flamme de tes cheveux S'envole au gré de la vie La flamme tricolore qui brûle en ton coeur, Se répandra, fière et belle, Dans le coeur de ceux qui aiment la France. Elle s'élancera droite et vertueuse Comme cette croix celtique Que je perçois en un rêve idéal Sur les sommets des églises Russes.
Je t'aime plus que moi, mon amour ! Car si je t'aimais pour moi, Je voudrais que nos corps se fondent Sans qu'aucune cellule ne vienne à manquer Je voudrais t'offrir les caresses les plus enivrantes Les plus douces, les plus tendres, Tout ce que tu me demanderas. Mais je t'aime trop pour t'offrir ce poison, Car si nous faisions l'amour, Lentement, doucement, Insouciant, en riant, Un soir, sur l'herbe bleue Pour toi, peut-être, douce souvenance D'une divaguante adolescence, Pour moi, sans doute, nouvelle chance, Sous un ciel reverdi d'espérance, Ton âme que j'aime si ardemment Serait perdue nouvellement !
Oui, c'est dur, mon amour si cher ! C'est dur, le martyr de la chair ! Mais plus dure encore celui de l'âm'our impossible et sans jour ! (27/28 avril 2007)
sensas. ce blog Mr Gofman ! il y a de tout, même la meteo !
RépondreSupprimeravec une belle photo ! C'est chez vous ?
Et on a plaisir a retrouver votre talent du Libre Journal de Serge qui nous manque tant.
Doux coeur vaillant, belle âme encore cachée
RépondreSupprimerLa haut sous les étoiles, qu'as tu à te reprocher
Ne crains pas cette femme qui t'aime à en pleurer
Qui pense à toi naïve , car elle t'aime à en prier.
Elle t'aime à lutter de toute son âme
Contre ce mal qui ronge le monde
Et pourtant, bel Apollon
Plus beau que le David de Michel-Ange
Si ton beau papillon, mon ange,
Pouvait se nicher dans ma fleur...
Mais ne parlons pas de malheur
Car aux yeux de notre Créateur
Ce serait une calamité !
Même si nous offrions un tout petit
A celle que tu chéris tant
La France !
Allons, redonne moi ta main, mon Amour !
Viens avec moi, supporter les peines de la vie,
Offrir à Jésus les souffrances et les interdits
Pour aller, quand l'heure viendra, au Ciel pour toujours !
Mon coeur est amaré en ce port royal,
Mon âme veut t'entraîner au Ciel
Mais mon corps restera lilial.
En nous, coulera, si limpide, le doux miel
D'un Amour que nul ne connaîtra sur terre !
Et notre alliance lactée, si blanche,
Unissant nos joies, unissant nos âmes
Qu'un sang martyr lavera peut-être
pour notre douce France,
Ô Amour de ma vie !
Le martyr de la chair n'est pas pour les grosses têtes...
Elle n'est pas pour nous leur charnelle fête...
Aimer n'est pas une partie de plaisir !
C'est un cadeau de Dieu pour aller en son Paradis.
Mais c'est avec toi mon doux amour
Que je veux chasser ce mal,
Mon grand Amour !
Je ne peux pas seule.
Si je crois, si j'ai la foi,
Je suis plus faible que toi
Quand tous deux nous serons
Je serai forte pour toi
Ô amour de ma vie !
Seul sur ta planète d'amour,
Mon petit Prince, la nuit, le jour
Tu contemple, ravi, la France et son soleil.
Ô toi, mon ange, à ton réveil
Sous les toits, parmi les étoiles
Pendant que l'amour m'envahit
Que penses-tu ? Qu'écris-tu ? Que contemples-tu?
Ton enveloppant souvenir
Se répand à travers mon corps , mon coeur.
Cette fleur fragile et sensible
Que je ne peux t'offrir
S'envole en secret spirituel
Vers ton coeur,
Ô mon bonheur !
Quand la flamme de tes cheveux
S'envole au gré de la vie
La flamme tricolore qui brûle en ton coeur,
Se répandra, fière et belle,
Dans le coeur de ceux qui aiment la France.
Elle s'élancera droite et vertueuse
Comme cette croix celtique
Que je perçois en un rêve idéal
Sur les sommets des églises Russes.
Je t'aime plus que moi, mon amour !
Car si je t'aimais pour moi,
Je voudrais que nos corps se fondent
Sans qu'aucune cellule ne vienne à manquer
Je voudrais t'offrir les caresses les plus enivrantes
Les plus douces, les plus tendres,
Tout ce que tu me demanderas.
Mais je t'aime trop pour t'offrir ce poison,
Car si nous faisions l'amour,
Lentement, doucement,
Insouciant, en riant,
Un soir, sur l'herbe bleue
Pour toi, peut-être, douce souvenance
D'une divaguante adolescence,
Pour moi, sans doute, nouvelle chance,
Sous un ciel reverdi d'espérance,
Ton âme que j'aime si ardemment
Serait perdue nouvellement !
Oui, c'est dur, mon amour si cher !
C'est dur, le martyr de la chair !
Mais plus dure encore celui de l'âm'our
impossible et sans jour !
(27/28 avril 2007)