Au moins, ça fait plus sérieux ! Ce devrait donc être la fête des vrais amoureux, dont l'amour est sincère et profondément ancré dans le coeur. de ceux qui ont naturellement le droit : être au moins de sexe différents. et surtout ne transformez JAMAIS l'Amour en haine... et puis dodo...
"C'est pas beau l'amour" quand il est devenu un acte bestial, voire zoophile... quand des b couchent avec des ..., quand il n'a plus aucun idéal que le corps propulsé dans l'ère du matérialisme, de la consommation, quand la femme se veut la dominatrice de l'homme, quand son amour pour lui est masqué, maquilllé, que beaucoup, hélas, se laissent prendre au piège ou que certains aiment bien. ce, pour en profiter... et quand elle s'aperçoit qu'il n'a pas les moyens de lui faire des cadeaux de luxe ou de repasser ses propres chemises et de tenir la maison pendant une journée, par exemple, elle le laisse tomber, alors qu'il lui dit des "je t'aime" à vous fendre l'âme, qu'il lui offre un bouquet de fleur des champs ramené de chez sa maman (qu'il ne doit pas préférer à sa femme, bien sûr), qu'il la couvre d'affection et de paroles aimables (bref, tout ce qui ne coûte rien, mais qui est un trésor inestimable). l'amour est horrible quand il engendre le crime , celui de tuer l'innocent que deux jeunes étourneaux ont fait par un amour sans lendemain. l'amour est devenu banal comme un vieux bout de métal, il est étalé sur les vieux murs grisâtres, prôné par l'immonde boîte grisâtre. L'amitié est un trésor rare est précieux, comme de l'or.
mais l'amour peut aussi être triste, très triste... car il est coupable, interdit... mais si fort, si puissant, si sincère. Le spirituel l'emporte sur le charnel... avec l'aide du Ciel.
l'amour, le vrai, fait espérer à des lendemains plus merveilleux. l'amour fait sourir, l'amour rend poète, l'amour rend un peu fou, l'amour rend joyeux, l'amour n'est pas jaloux, l'amour n'est pas mesquin, l'amour n'est pas rancunier, l'amour n'est pas vengeur, l'amour n'est pas souffrance... l'amour est joyeux, l'amour est fidélité et réciprocité, l'amour est espérance, l'amour est plus que charité, l'amour est confiance lucide, l'amour est un chant de joie que l'on emportera au Paradis !
Eh bien, quelle envolée lyrique ! Moi, j'ai voulu avec beaucoup de sincérité fonder une famille, dorloter un mari, choyer et éduquer des enfants, leur apprendre à aimer le beau, le vrai, le bien. Mais l'amour, avec la maladie, la méchanceté, s'en est allé pour faire place à la haine, oh non, pas la mienne, j'en suis incapable ! Il reste la fidélité. Qu'il est difficile d'aimer, ou plutôt combien ce serait difficile si le Christ ne m'avait pas serrée contre son coeur, ne m'avait pas dit : " Regarde toutes mes blessures, tu vois, c'est pour toi, et parce que je t'aime tendrement, que je me suis laissé persécuter". Une dame sincère
Chère « dame sincère », Comme votre réponse est splendide! magnifique de vérité! En effet, sans Jésus-Christ pourrions nous aimer ? Pourrions nous supporter les douleurs de la vie, les amours-sincères rejetés, les amours-mariages contraints, les cruautés morales et physiques de certain(e)s. Je ne le pense pas. Vous êtes bien courageuse, et la fin de votre commentaire est un témoignage de sainteté . Je ne connais ni la méchanceté, ni la haine, mais l’indifférence. Le mariage (sacrement qui donne des graces, heureusement ! mais qui vous lie pieds et poings dans la même galère) me fait vivoter et m’occuper de ma famille tant bien que mal,et parfois m’étouffe. Etre marié à un homme qui vous répond quand vous demandez s’il vous aime : « on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif » ou qui vous prend pour pas grand-chose, en somme… et je ne dis pas tout, n’est pas évident. Et puis quand ,soudain, l’amour vous tombe dessus, un automne de 2006 puis renforcé au printemps 2007, c’est … je ne sais : une souffrance mêlée de joie, un bonheur mêlé d'une cruelle incertitude. C’était lors d’une de ces fêtes françaises; nous eussions eu l’impression de nous être déjà vus, du moins nos âmes. Nous nous embrassions du regard sans que je ne m’aperçoive de rien. J’étais envahie d’un sentiment noble d’amitié, de pure charité , deux âmes qui s’aiment, ni plus, ni moins ! Et je repartais le cœur léger,de fort bon humeur. J’avais retrouvé un peu de joie de vivre et surtout la forte envie de prier pour lui. Quand je le revis lors de cette seconde fête, j’eu l’impression que lui seul éclairait, illuminait toute la salle. J’étais attirée par une force… et quelle force! celle de l’amour, d'un amour profondément vrai et sincère! Je voulais me réfugier en lui, partir avec lui loin de toute cette foule pour lui dire combien je l’aimais (et encore maintenant). Je m’arrachais à ses bisous enfantins qu’il m’envoyait de sa main,lui en envoyant en retour (comme des petiots de maternelles), pour suivre ma famille, l’emportant dans mon cœur. Je parle au passé, mais c’est encore tellement vrai maintenant. Je n’avais qu’une envie le rejoindre, rester à ses côtés , toujours. Mais hélas, je ne pouvais rien faire, car le regard de la foule nous aurait sans doute fusillé. Et je sentais dans ses yeux , dans sa façon de me demander comment cela allait, qu’il ne me haïssait point . Que lui aurais-je répondu ? Oui…non…enfin, je crois que je suis amoureuse de vous… comme je ne l’ai jamais été. J’aurais eu l’air de quoi ? et d’autres auraient peut-être entendu… Et maintenant ? je ne sais. Ce que je sais, c’est que je l’aime toujours.Je ne sais s’il m’aime.j'ai peur. Et la souffrance est si atroce, mais, en effet si allégee quand je l’offre à notre divin Sauveur, à sa très sainte mère, la Vierge Marie, à Jeanne d’Arc…pour la France et pour lui-même. Mais il me manque tant ! Je pourrais en écrire des pages et des pages. Je publie, mais quand je me relis quelque mois plus tard, la plupart du temps je trouve mes écris nul, ou trop fade en rapport avec ce que mon cœur, mon âme ressent.
Oh, Marie, Si vous permettez que je vous appelle par votre prénom, ne devriez-vous pas garder cette passion au creux de votre coeur, comme un secret qui ne se peut partager ? Les amours les plus sincères ne devraient-elles pas être connues des seuls amants, sinon amants véritables, du moins amants de coeur, ou amis par l'âme ? Etaler tout cela sur un blog me paraît pure folie. Qu'en pense notre webmestre ?
Très chère dame sincère qui êtes bien plus sage que moi, je ne peux qu'écouter la voix de la tempérence. Mais vous savez, j'essaie de tenir, de me dire il faut que je n'envoie rien, que je garde tout dans mon coeur, comme je le fait si souvent. Mais, parfois mon âme déborde tant d'amour que cela se répand en poèmes et envolées lyriques... et c’est si dure les amours impossibles, même si cela devient moins pénible en les offrant à Jésus. Si seulement je savais ! Mais vous avez amplement raison : Les lecteurs de ce blog n’ont pas besoin de connaître les secrets de nos âmes. C'est pourquoi je réitérerai ce que j'avais déjà dis et que je pense profondément :
L’Amour est "UN TRESOR INTERIEUR DISCRET QUI NE S'EXALTE PAS".
Au moins, ça fait plus sérieux !
RépondreSupprimerCe devrait donc être la fête des vrais amoureux, dont l'amour est sincère et profondément ancré dans le coeur. de ceux qui ont naturellement le droit : être au moins de sexe différents.
et surtout ne transformez JAMAIS l'Amour en haine...
et puis dodo...
"C'est pas beau l'amour" quand il est devenu un acte bestial, voire zoophile... quand des b couchent avec des ..., quand il n'a plus aucun idéal que le corps propulsé dans l'ère du matérialisme, de la consommation, quand la femme se veut la dominatrice de l'homme, quand son amour pour lui est masqué, maquilllé, que beaucoup, hélas, se laissent prendre au piège ou que certains aiment bien. ce, pour en profiter... et quand elle s'aperçoit qu'il n'a pas les moyens de lui faire des cadeaux de luxe ou de repasser ses propres chemises et de tenir la maison pendant une journée, par exemple, elle le laisse tomber, alors qu'il lui dit des "je t'aime" à vous fendre l'âme, qu'il lui offre un bouquet de fleur des champs ramené de chez sa maman (qu'il ne doit pas préférer à sa femme, bien sûr), qu'il la couvre d'affection et de paroles aimables (bref, tout ce qui ne coûte rien, mais qui est un trésor inestimable). l'amour est horrible quand il engendre le crime , celui de tuer l'innocent que deux jeunes étourneaux ont fait par un amour sans lendemain.
RépondreSupprimerl'amour est devenu banal comme un vieux bout de métal, il est étalé sur les vieux murs grisâtres, prôné par l'immonde boîte grisâtre. L'amitié est un trésor rare est précieux, comme de l'or.
mais l'amour peut aussi être triste, très triste... car il est coupable, interdit... mais si fort, si puissant, si sincère. Le spirituel l'emporte sur le charnel... avec l'aide du Ciel.
l'amour, le vrai, fait espérer à des lendemains plus merveilleux. l'amour fait sourir, l'amour rend poète, l'amour rend un peu fou, l'amour rend joyeux, l'amour n'est pas jaloux, l'amour n'est pas mesquin, l'amour n'est pas rancunier, l'amour n'est pas vengeur, l'amour n'est pas souffrance... l'amour est joyeux, l'amour est fidélité et réciprocité, l'amour est espérance, l'amour est plus que charité, l'amour est confiance lucide, l'amour est un chant de joie que l'on emportera au Paradis !
Eh bien, quelle envolée lyrique !
SupprimerMoi, j'ai voulu avec beaucoup de sincérité fonder une famille, dorloter un mari, choyer et éduquer des enfants, leur apprendre à aimer le beau, le vrai, le bien. Mais l'amour, avec la maladie, la méchanceté, s'en est allé pour faire place à la haine, oh non, pas la mienne, j'en suis incapable ! Il reste la fidélité.
Qu'il est difficile d'aimer, ou plutôt combien ce serait difficile si le Christ ne m'avait pas serrée contre son coeur, ne m'avait pas dit : " Regarde toutes mes blessures, tu vois, c'est pour toi, et parce que je t'aime tendrement, que je me suis laissé persécuter".
Une dame sincère
Chère « dame sincère »,
SupprimerComme votre réponse est splendide! magnifique de vérité! En effet, sans Jésus-Christ pourrions nous aimer ? Pourrions nous supporter les douleurs de la vie, les amours-sincères rejetés, les amours-mariages contraints, les cruautés morales et physiques de certain(e)s. Je ne le pense pas.
Vous êtes bien courageuse, et la fin de votre commentaire est un témoignage de sainteté .
Je ne connais ni la méchanceté, ni la haine, mais l’indifférence. Le mariage (sacrement qui donne des graces, heureusement ! mais qui vous lie pieds et poings dans la même galère) me fait vivoter et m’occuper de ma famille tant bien que mal,et parfois m’étouffe.
Etre marié à un homme qui vous répond quand vous demandez s’il vous aime : « on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif » ou qui vous prend pour pas grand-chose, en somme… et je ne dis pas tout, n’est pas évident.
Et puis quand ,soudain, l’amour vous tombe dessus, un automne de 2006 puis renforcé au printemps 2007, c’est … je ne sais : une souffrance mêlée de joie, un bonheur mêlé d'une cruelle incertitude.
C’était lors d’une de ces fêtes françaises; nous eussions eu l’impression de nous être déjà vus, du moins nos âmes. Nous nous embrassions du regard sans que je ne m’aperçoive de rien. J’étais envahie d’un sentiment noble d’amitié, de pure charité , deux âmes qui s’aiment, ni plus, ni moins ! Et je repartais le cœur léger,de fort bon humeur. J’avais retrouvé un peu de joie de vivre et surtout la forte envie de prier pour lui.
Quand je le revis lors de cette seconde fête, j’eu l’impression que lui seul éclairait, illuminait toute la salle. J’étais attirée par une force… et quelle force! celle de l’amour, d'un amour profondément vrai et sincère! Je voulais me réfugier en lui, partir avec lui loin de toute cette foule pour lui dire combien je l’aimais (et encore maintenant). Je m’arrachais à ses bisous enfantins qu’il m’envoyait de sa main,lui en envoyant en retour (comme des petiots de maternelles), pour suivre ma famille, l’emportant dans mon cœur. Je parle au passé, mais c’est encore tellement vrai maintenant. Je n’avais qu’une envie le rejoindre, rester à ses côtés , toujours. Mais hélas, je ne pouvais rien faire, car le regard de la foule nous aurait sans doute fusillé.
Et je sentais dans ses yeux , dans sa façon de me demander comment cela allait, qu’il ne me haïssait point . Que lui aurais-je répondu ? Oui…non…enfin, je crois que je suis amoureuse de vous… comme je ne l’ai jamais été. J’aurais eu l’air de quoi ? et d’autres auraient peut-être entendu…
Et maintenant ? je ne sais. Ce que je sais, c’est que je l’aime toujours.Je ne sais s’il m’aime.j'ai peur. Et la souffrance est si atroce, mais, en effet si allégee quand je l’offre à notre divin Sauveur, à sa très sainte mère, la Vierge Marie, à Jeanne d’Arc…pour la France et pour lui-même. Mais il me manque tant !
Je pourrais en écrire des pages et des pages.
Je publie, mais quand je me relis quelque mois plus tard, la plupart du temps je trouve mes écris nul, ou trop fade en rapport avec ce que mon cœur, mon âme ressent.
Que Dieu vous garde !
Oh, Marie, Si vous permettez que je vous appelle par votre prénom, ne devriez-vous pas garder cette passion au creux de votre coeur, comme un secret qui ne se peut partager ? Les amours les plus sincères ne devraient-elles pas être connues des seuls amants, sinon amants véritables, du moins amants de coeur, ou amis par l'âme ?
SupprimerEtaler tout cela sur un blog me paraît pure folie.
Qu'en pense notre webmestre ?
Une dame sincère, qui s'efforce d'être sage.
Très chère dame sincère qui êtes bien plus sage que moi,
Supprimerje ne peux qu'écouter la voix de la tempérence.
Mais vous savez, j'essaie de tenir, de me dire il faut que je n'envoie rien, que je garde tout dans mon coeur, comme je le fait si souvent. Mais, parfois mon âme déborde tant d'amour que cela se répand en poèmes et envolées lyriques... et c’est si dure les amours impossibles, même si cela devient moins pénible en les offrant à Jésus.
Si seulement je savais ! Mais vous avez amplement raison : Les lecteurs de ce blog n’ont pas besoin de connaître les secrets de nos âmes.
C'est pourquoi je réitérerai ce que j'avais déjà dis et que je pense profondément :
L’Amour est "UN TRESOR INTERIEUR DISCRET QUI NE S'EXALTE PAS".