"Thierry" commente : Il y avait trois « tendances » au PT : les restes du PCI, des restes du PS et la 3e ( ?). On entrait au PT en payant sa cotisation, simplement. Sans doute la tendance PCI (CCI- Courant communiste internationaliste) imposait-elle un GER (Groupe d'études révolutionnaires) si l’on souhaitait y appartenir, le CCI ayant fonctionné comme le PCI-OCI, mais au sein du PT.
Notre interviouvé l’aurait tout de même remarqué s’il était entré au CCI ? Ça me semble une vidéo de commande, pour bavasser encore sur les trotskistes à tort et à travers, sans savoir rien, en surfant sur la vague médiatique jospiniste qui a ahuri les nigauds. Même Bernard Lugan ne sait pas ce que c’est, quand il y agrège obstinément Cohn-Bendit !
Mon passage à l’OCI, de 77 à 79, a été, comme beaucoup, décisif. J’y ai côtoyé des gens de valeur (militants de base, Broué comme directeur de GER (nous étions deux à profiter de ses connaissances, dans son appartement-bureau, à St-Martin d’Hères), Jean-Paul Joubert (qu’est-il devenu ?) également professeur à Sc.Po. Grenoble ; Charles « Berg » et sa fulgurante AG de rentrée, venu de Paris, que j’ai connu et fréquenté au début des années 2000 autour de la revue Carré Rouge, avec François Chesnais : c’était un Charles « Jérémie » (la Bible n’est jamais loin !) … ». À l’OCI, j’ai vu aussi quelques imposteurs ! Jean-Jacques, secrétaire de notre cellule, manquait à une manifestation importante ; Broué nous répond, en bon prof : « Il protège ses études » ! La Ligue, que je fréquentais, ne m’avait jamais proposé d’y entrer : chez eux, on est prédestiné. À l’OCI, en-dessous de secrétaire de cellule, on était de la piétaille. J’ai fréquenté le MPPT en traînant les pieds, adhéré au PT par intermittence, ne comprenant pas le sabordage initié par Lambert.
Au vu de ces expériences, je vois cette vidéo (le début) comme une fabrication (de quoi ?, peu me chaut), une récitation laborieuse. À vous de juger, qui en connaissez la fin.
Bien cordialement.
P.S. : Je vous l’ai peut-être déjà écrit : quelle ne fut pas ma désillusion, quand je suis devenu francilien, de reconnaître dans la gouaille de Lambert, au 87, lors d’un meeting, …la façon de parler de Broué qui, à Grenoble, singeait le maître – et futur bourreau !
"Thierry" commente : Il y avait trois « tendances » au PT : les restes du PCI, des restes du PS et la 3e ( ?). On entrait au PT en payant sa cotisation, simplement. Sans doute la tendance PCI (CCI- Courant communiste internationaliste) imposait-elle un GER (Groupe d'études révolutionnaires) si l’on souhaitait y appartenir, le CCI ayant fonctionné comme le PCI-OCI, mais au sein du PT.
RépondreSupprimerNotre interviouvé l’aurait tout de même remarqué s’il était entré au CCI ? Ça me semble une vidéo de commande, pour bavasser encore sur les trotskistes à tort et à travers, sans savoir rien, en surfant sur la vague médiatique jospiniste qui a ahuri les nigauds. Même Bernard Lugan ne sait pas ce que c’est, quand il y agrège obstinément Cohn-Bendit !
Mon passage à l’OCI, de 77 à 79, a été, comme beaucoup, décisif. J’y ai côtoyé des gens de valeur (militants de base, Broué comme directeur de GER (nous étions deux à profiter de ses connaissances, dans son appartement-bureau, à St-Martin d’Hères), Jean-Paul Joubert (qu’est-il devenu ?) également professeur à Sc.Po. Grenoble ; Charles « Berg » et sa fulgurante AG de rentrée, venu de Paris, que j’ai connu et fréquenté au début des années 2000 autour de la revue Carré Rouge, avec François Chesnais : c’était un Charles « Jérémie » (la Bible n’est jamais loin !) … ». À l’OCI, j’ai vu aussi quelques imposteurs ! Jean-Jacques, secrétaire de notre cellule, manquait à une manifestation importante ; Broué nous répond, en bon prof : « Il protège ses études » !
La Ligue, que je fréquentais, ne m’avait jamais proposé d’y entrer : chez eux, on est prédestiné. À l’OCI, en-dessous de secrétaire de cellule, on était de la piétaille.
J’ai fréquenté le MPPT en traînant les pieds, adhéré au PT par intermittence, ne comprenant pas le sabordage initié par Lambert.
Au vu de ces expériences, je vois cette vidéo (le début) comme une fabrication (de quoi ?, peu me chaut), une récitation laborieuse. À vous de juger, qui en connaissez la fin.
Bien cordialement.
P.S. : Je vous l’ai peut-être déjà écrit : quelle ne fut pas ma désillusion, quand je suis devenu francilien, de reconnaître dans la gouaille de Lambert, au 87, lors d’un meeting, …la façon de parler de Broué qui, à Grenoble, singeait le maître – et futur bourreau !
Autrement dit, vous auriez mieux fait en lieu et place, de vous livrer à des activités licencieuses.
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