La totalité des gros médias encense Johnny Halliday sur les planches. Il faut bien que quelqu'un se charge de dire que l'empereur est nu, et le roi de la pop ridicule. Le malheureux exilé fiscal (à Légion d'Honneur), toujours poussé et tiré par sa belle-famille avide, se présente en nègre aux yeux bleus dans une daube antiraciste de Tennessee Williams, "jamais jouée en France", et pour cause. Il est entouré par un homme qui a l'air d'une folle et une femme qui a mauvais genre (charitable litote). Lui-même ressemble affreusement à son père, vieux clochard belge, alcoolique de profession. Il ânonne un texte inepte. On a honte pour lui. Sur les planches ? Ou entre quatre planches ? P.G.
Il vaudrait mieux qu'il en reste à ce qu'il sait faire de mieux:chanter.
RépondreSupprimerEt puis ,ne pas succomber au politiquement correct de l'époque,mais çà c'est plus difficile,voire impossible,car on doit assurer le "bout de gras"et les convictions,chez ces gens là,on s'y assoit dessus.
Patrick, on parle de toi sur le Blog "CGB" ce soir au sujet de Limonov et du livvre de Carrère !
RépondreSupprimerVous pouvez mettre le lien SVP ! C'est quoi CGB ?
RépondreSupprimerMerci