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mercredi 11 juillet 2012

J'ai enfin déjeuné au "Procope"

© Photo JF de Shanghaï/"L'EP"
…APRÈS 326 ANNÉES DE PATIENCE (la boîte datant de 1686) ! Nous pouvions nous attendre au pire, faisait remarquer mon Amphitryon lui-même : "Les maisons qui bénéficient d'un tel prestige historique ne se fatiguent généralement pas trop en cuisine…" Et en effet le service commençait  avec quelque langueur, tandis qu'un car de Japonais après l'autre vrombissait dans l'escalier ci-contre. L'angoisse touchait son apex lorsque Myriam nous annonçait que nous aurions du vin d'Arbois dans le "suprême de volaille", mais point dans les verres ! Et puis tout s'arrangeait. Myriam s'occupait de ma tête de veau comme une maman, le magret était rose comme tout, le champagne brut Pommery remplaçait avantageusement l'Arbois, et les desserts étaient acceptables. Comme la note, m'assurait Amphitryon (gauchiste milliardaire, contraint au pseudonyme dans ce blog des droites) : 149,95 € à trois. P. Gofman
"Le Procope" - 13 r. de l'Ancienne-Comédie - 75006 Paris - 01 40 46 79 00
http://www.procope.com/



1 commentaire:

  1. Le Procope ? Le Procope ? Pourquoi ?
    Parce que Saint Procope y serait passé ?

    Et pourquoi pas le Servadac ! Ou le Timascheff !

    Laurent Zouf

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