Ou d'un SDF en smoking, comme ci-contre ? Non, le smoking est réservé à l'affiche. Du moins, un road movie de l'Écosse à Londres ? 5 mn au plus sur ce sujet. Alors, "un personnage à la Ken Loach" (réalisateur trotskiste anglais) ? Même pas. Nulle protestation sociale. Un vieillard (nommé MacAdam, ha ha ho ho) clopine de bistrot nickel en foyer modèle, et on s'ennuie 1h30 avant de découvrir qu'il a perdu pied quand sa famille est morte dans un accident de voiture. Ça lors, quel coup de théâtre ! N'écoutez pas les critiques, tous de gauche, qui s'escriment à vous vendre cette daube. P. Gofman
Bon, nous voilà avertis. Je mets les sous ainsi économisés dans du sûr : "le trotskisme dégénéré" d'un individu bien connu des services et le "ça suffit!" de l'inoxydable Holeindre. Je découvre seulement le livre et j'ai hâte de vous lire car pour paraphraser le titre du film j'ai eu la chance d'avoir des parents communistes et je dis qu'ils étaient avant tout des patriotes et des nationalistes comme leurs camarades de la base d'ailleurs qui lisaient du Mabire même pas en douce. C'est la raison pour laquelle face au tournant immigrationniste du PCF dans les années 80 toute ladite base est allée chez Jean-Marie car l'aspect social importait moins que la Nation. Pour ce qui est des rares trotskites qu'on a pu voir dans la ceinture rouge, on respectait l'engagement des militants L.O. car vraiment ils bossaient et sacrifiaient tout à leur idéal (nous on pensais à leur secte) mais la fibre nationaliste de la plupart des ouvriers a toujours maintenu une distance avec eux ainsi que l'impression diffuse de ne pas correspondre à leur idée du peuple rêvé.
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