C'est mal, c'est très très très mal. On sent au fil des paroles comme un manque d'appétence face aux joies du vivre-ensemble et aussi un manque de désir d'auto-flagellation de l'homme blanc qui en ont envoyés d'autres directement à la 17ème sans passer par la case départ. Elles en ont.
C'est mal, c'est très très très mal.
RépondreSupprimerOn sent au fil des paroles comme un manque d'appétence face aux joies du vivre-ensemble et aussi un manque de désir d'auto-flagellation de l'homme blanc qui en ont envoyés d'autres directement à la 17ème sans passer par la case départ.
Elles en ont.
Qu'attend le webmestre, qui n'en serait pas à son coup d'essai, pour leur écrire quelques textes d'un autre calibre ?
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