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jeudi 5 mai 2011

Encore une chanson ?

6 commentaires:

  1. âm'nonyme pleurant5 mai 2011 à 09:46

    ho! oui je le connais le mmalheur d'aimer...

    M.

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  2. Au mois de mai, en effet, on peut s'apercevoir que l'on est amoureux, d'un amour impossible. Alors on offre à l'autre toute sa souffrance due à l'absence, tous ses renoncements. Mais si l'on sait que l'aimée fait de même, alors, il ne faut pas s'attrister ainsi. Depuis que le monde est monde, nous vivons dans la souffrance. Heureusement, nous avons parfois l'Espérance !

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  3. @ Bernard : C'est tellement vrai et beau ce que vous dites là !

    M

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  4. Parfois sur la lyre

    Je délire,

    Ivre de vivre

    Loin de tout

    Avec toi

    Mon bonheur.



    Mon coeur

    Inondé de larme,

    Sans arme

    Sans fiel

    Ni miel,

    Tout simple,

    Simple comme cet amour,

    Je veux te l'offrir

    Sans souffrir.

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  5. Sans toi, les simples choses sont fantômes ,sans heur.
    Mon cœur ne dormira t-il jamais sur ton cœur ?
    Tes lèvres ne se poseront-elles jamais sur les miennes ?
    Te trouverai-je pour une vie plus sereine ?
    Oui, je connais le malheur d’aimer.

    Je t’ai cherché sous les mêmes étoiles que toi,
    Te confiant à Dieu, mon Espérance et mon Roi.
    Je t’ai espéré dans le silence de mes pleurs.
    Je sais que tu es là, si loin, trop loin pour apaiser mes peurs.
    Oui, je connais le malheur d’aimer.

    La longue attente est un purgatoire sur terre.
    A quoi bon hurler en silence ton nom dans le fond de mon cœur ?
    Nos bras francs ne s’enlaceront-ils jamais ?
    A quoi bon espérer en ces tristes années ?
    Oui, je connais le malheur d’aimer.

    Je t’ai cherché au fond de ton âme dans ses fêtes françaises
    Qui pour moi ne sont plus que d’importants devoirs.
    J’ai pensé à toi versant mes pleurs sur tes productions
    Pâle représentation de ton être de passions
    Oui, nous connaissons le malheur d’aimer.

    Je ne puis t’oublier sans un long sanglot rêveur
    Car je te garde et te bercerai en mon cœur,
    Sans doute, mon amour, en m’oubliant moi-même
    Car à s’écouter dépérir, on en oublie cette patrie qu’on aime
    Non ! contemple cette dernière étincelle du bonheur d’aimer !

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  6. Sans espoir, le soir

    Je broie du noir

    Je sens en moi

    Toujours, toujours toi,

    Hélas pas sous ton toit

    Sans fortune

    Parmi la lune,

    M'échappant toujours.

    Et quand vient le jour

    L'affreux doute

    Vers de mystérieux rivages

    s'envole, sage mais volage.

    Dans la foule tu roule

    Et moi, perdue éperdue

    Minuscule particule

    Désirant me fondre

    Sans me morfondre

    A ta vie, à ton rire

    à ton lit, à ton gîte.

    Mélange de rêves

    De coeur sans être,

    D'être sans corps.

    Espoir de corps fondus

    En un beau lavis

    Plus pur qu'un ciel rosé

    De soleil couché.

    Fragance d'enfant

    Parfum de France

    Se mêleront-il à jamais

    Pour une douce existence ?

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