Au mois de mai, en effet, on peut s'apercevoir que l'on est amoureux, d'un amour impossible. Alors on offre à l'autre toute sa souffrance due à l'absence, tous ses renoncements. Mais si l'on sait que l'aimée fait de même, alors, il ne faut pas s'attrister ainsi. Depuis que le monde est monde, nous vivons dans la souffrance. Heureusement, nous avons parfois l'Espérance !
Sans toi, les simples choses sont fantômes ,sans heur. Mon cœur ne dormira t-il jamais sur ton cœur ? Tes lèvres ne se poseront-elles jamais sur les miennes ? Te trouverai-je pour une vie plus sereine ? Oui, je connais le malheur d’aimer.
Je t’ai cherché sous les mêmes étoiles que toi, Te confiant à Dieu, mon Espérance et mon Roi. Je t’ai espéré dans le silence de mes pleurs. Je sais que tu es là, si loin, trop loin pour apaiser mes peurs. Oui, je connais le malheur d’aimer.
La longue attente est un purgatoire sur terre. A quoi bon hurler en silence ton nom dans le fond de mon cœur ? Nos bras francs ne s’enlaceront-ils jamais ? A quoi bon espérer en ces tristes années ? Oui, je connais le malheur d’aimer.
Je t’ai cherché au fond de ton âme dans ses fêtes françaises Qui pour moi ne sont plus que d’importants devoirs. J’ai pensé à toi versant mes pleurs sur tes productions Pâle représentation de ton être de passions Oui, nous connaissons le malheur d’aimer.
Je ne puis t’oublier sans un long sanglot rêveur Car je te garde et te bercerai en mon cœur, Sans doute, mon amour, en m’oubliant moi-même Car à s’écouter dépérir, on en oublie cette patrie qu’on aime Non ! contemple cette dernière étincelle du bonheur d’aimer !
ho! oui je le connais le mmalheur d'aimer...
RépondreSupprimerM.
Au mois de mai, en effet, on peut s'apercevoir que l'on est amoureux, d'un amour impossible. Alors on offre à l'autre toute sa souffrance due à l'absence, tous ses renoncements. Mais si l'on sait que l'aimée fait de même, alors, il ne faut pas s'attrister ainsi. Depuis que le monde est monde, nous vivons dans la souffrance. Heureusement, nous avons parfois l'Espérance !
RépondreSupprimer@ Bernard : C'est tellement vrai et beau ce que vous dites là !
RépondreSupprimerM
Parfois sur la lyre
RépondreSupprimerJe délire,
Ivre de vivre
Loin de tout
Avec toi
Mon bonheur.
Mon coeur
Inondé de larme,
Sans arme
Sans fiel
Ni miel,
Tout simple,
Simple comme cet amour,
Je veux te l'offrir
Sans souffrir.
Sans toi, les simples choses sont fantômes ,sans heur.
RépondreSupprimerMon cœur ne dormira t-il jamais sur ton cœur ?
Tes lèvres ne se poseront-elles jamais sur les miennes ?
Te trouverai-je pour une vie plus sereine ?
Oui, je connais le malheur d’aimer.
Je t’ai cherché sous les mêmes étoiles que toi,
Te confiant à Dieu, mon Espérance et mon Roi.
Je t’ai espéré dans le silence de mes pleurs.
Je sais que tu es là, si loin, trop loin pour apaiser mes peurs.
Oui, je connais le malheur d’aimer.
La longue attente est un purgatoire sur terre.
A quoi bon hurler en silence ton nom dans le fond de mon cœur ?
Nos bras francs ne s’enlaceront-ils jamais ?
A quoi bon espérer en ces tristes années ?
Oui, je connais le malheur d’aimer.
Je t’ai cherché au fond de ton âme dans ses fêtes françaises
Qui pour moi ne sont plus que d’importants devoirs.
J’ai pensé à toi versant mes pleurs sur tes productions
Pâle représentation de ton être de passions
Oui, nous connaissons le malheur d’aimer.
Je ne puis t’oublier sans un long sanglot rêveur
Car je te garde et te bercerai en mon cœur,
Sans doute, mon amour, en m’oubliant moi-même
Car à s’écouter dépérir, on en oublie cette patrie qu’on aime
Non ! contemple cette dernière étincelle du bonheur d’aimer !
Sans espoir, le soir
RépondreSupprimerJe broie du noir
Je sens en moi
Toujours, toujours toi,
Hélas pas sous ton toit
Sans fortune
Parmi la lune,
M'échappant toujours.
Et quand vient le jour
L'affreux doute
Vers de mystérieux rivages
s'envole, sage mais volage.
Dans la foule tu roule
Et moi, perdue éperdue
Minuscule particule
Désirant me fondre
Sans me morfondre
A ta vie, à ton rire
à ton lit, à ton gîte.
Mélange de rêves
De coeur sans être,
D'être sans corps.
Espoir de corps fondus
En un beau lavis
Plus pur qu'un ciel rosé
De soleil couché.
Fragance d'enfant
Parfum de France
Se mêleront-il à jamais
Pour une douce existence ?